1. Une brève histoire d’amour avec ce(eux) que nous jetons. Ou comment (et pourquoi) résister à la culture du déchet.
Affiche à compléter (date/lieu)
2. Sommes-nous responsables de la Terre ?
Affiche à compléter (date/lieu)
3. Moi, étrange(r) ?
Affiche à compléter (date/lieu)
À savoir :
- Les modules sont indépendants.
- Durée : 2 heures
- Tout public ado-adulte. Aucun prérequis nécessaire.
- Les kits donnent tous les éléments :
> Un déroulé pour l’animateur
> Une présentation power-point avec :
L’ensemble des étapes et questionnements
Des liens vers des vidéos pour la partie enseignement
> Une feuille pour les participant
> Un texte de prière pour les participants
> Une proposition d’affiche
- Reste à trouver un témoin local pour chaque thème.
- Matériel indispensable : vidéoprojecteur
Pour tout renseignement : Dominique Vivant e-mail 06 48 09 44 22
]]>Ce mardi 15 octobre 2019 aura lieu à l’Assemblée Nationale française le vote solennel sur le projet de loi relatif à la bioéthique. Ce vote achèvera la « première lecture » du projet de loi par les députés, l’étape suivant étant l’examen du texte par le Sénat français, courant janvier 2020.
Le p. Brice de Malherebe donne ici, pour les lecteurs de Zenit, quelques clefs pour comprendre les enjeux. Il avertit notamment : « L’effacement progressif de la valeur du corps combiné à la pression économique entraîne des tendances eugénistes ».
Le p. Brice de Malherbe, est enseignant à la Faculté de Théologie Notre-Dame de Paris, et il est co-directeur du département éthique biomédicale, pôle de recherche du Collège des Bernardins (Paris).
Mais tout n’est pas joué d’avance: « A court terme, les débats ne sont pas finis, et chacun peut y participer à sa manière… Il est important de continuer à promouvoir des options raisonnables et à éveiller les consciences sur les choix socialement déstructurants ».
Il rappelle l’invitation du pape François à se faire les promoteurs d’une « écologie intégrale ».
Anita Bourdin
Zenit – Que contient le projet de loi français ?
P. Brice de Malherbe – Le projet de loi contient 34 chapitres réparti sur sept grands ensembles concernant principalement les techniques de procréation artificielle, les greffes d’organe, le traitement et la transmission des données génétiques, l’utilisation de nouvelles technologies médicales, la recherche sur l’embryon humain, le traitement des pathologies fœtales et enfin le suivi institutionnel des questions d’éthique biomédicale en France.
Comme il a été maintes fois souligné, la mesure politique phare de ce projet de loi est la concession de l’accès aux techniques de procréation artificielle aux couples de femmes et aux femmes seules. Mesure qui entraîne un nouveau mode de filiation, celui de la « déclaration conjointe anticipée » par les deux femmes qui désirent obtenir un enfant via la technique médicale. Cette mesure est accompagnée d’autres dispositions en matière de procréation artificielle et de filiation : possibilité de concevoir un enfant avec des gamètes entièrement extérieurs au couple, de conserver ses gamètes jusqu’à 10 ans en vue d’un futur « projet parental », possibilité pour des enfants issus de don de gamètes d’avoir accès à des données non-identifiantes ou même à l’identité du « donneur ».
En matière de greffes d’organes, le projet de loi autorise d’élargir les « dons croisés » à plusieurs paires de donneurs. Pour ce qui est des recherches sur l’embryon humain, le projet de loi autorise la culture des embryons in vitro jusqu’à 14 jours, autorise la modification transgénique des embryons à des fins de recherche, assouplit l’encadrement des recherches sur les cellules-souches embryonnaires, permet des recherches sur la production de gamètes à partir des cellules souches pluripotentes induites (IPs) et l’utilisation de ces cellules pour la création d’embryons et d’animaux chimères homme/animal.
Le projet ouvre la voie à des investigations génétiques plus larges dans le cadre du diagnostic prénatal, rend le recours à « l’interruption médicale de grossesse » plus facile en supprimant le délai de réflexion et l’autorisation parentale pour une femme mineure, entérine la possibilité d’avorter certains fœtus en cas de grossesse multiple. Il supprime la pratique du diagnostic préimplantatoire en vue de faire naître un enfant qui puisse être source de greffe pour un enfant déjà né (« bébé médicament »).
Institutionnellement, le projet de loi instaure une « délégation parlementaire à la bioéthique » pour chacune des deux assemblées, demande au Comité Consultatif National d’Éthique d’organiser chaque année des débats sur les questions d’éthique biomédicale, demande un examen de la loi tous les cinq ans.
]]>Ce mardi 15 octobre 2019 aura lieu à l’Assemblée Nationale française le vote solennel sur le projet de loi relatif à la bioéthique. Ce vote achèvera la « première lecture » du projet de loi par les députés, l’étape suivant étant l’examen du texte par le Sénat français, courant janvier 2020.
Le p. Brice de Malherebe donne ici, pour les lecteurs de Zenit, quelques clefs pour comprendre les enjeux. Il avertit notamment : « L’effacement progressif de la valeur du corps combiné à la pression économique entraîne des tendances eugénistes ».
Le p. Brice de Malherbe, est enseignant à la Faculté de Théologie Notre-Dame de Paris, et il est co-directeur du département éthique biomédicale, pôle de recherche du Collège des Bernardins (Paris).
Mais tout n’est pas joué d’avance: « A court terme, les débats ne sont pas finis, et chacun peut y participer à sa manière… Il est important de continuer à promouvoir des options raisonnables et à éveiller les consciences sur les choix socialement déstructurants ».
Il rappelle l’invitation du pape François à se faire les promoteurs d’une « écologie intégrale ».
Anita Bourdin
Zenit – Que contient le projet de loi français ?
P. Brice de Malherbe – Le projet de loi contient 34 chapitres réparti sur sept grands ensembles concernant principalement les techniques de procréation artificielle, les greffes d’organe, le traitement et la transmission des données génétiques, l’utilisation de nouvelles technologies médicales, la recherche sur l’embryon humain, le traitement des pathologies fœtales et enfin le suivi institutionnel des questions d’éthique biomédicale en France.
Comme il a été maintes fois souligné, la mesure politique phare de ce projet de loi est la concession de l’accès aux techniques de procréation artificielle aux couples de femmes et aux femmes seules. Mesure qui entraîne un nouveau mode de filiation, celui de la « déclaration conjointe anticipée » par les deux femmes qui désirent obtenir un enfant via la technique médicale. Cette mesure est accompagnée d’autres dispositions en matière de procréation artificielle et de filiation : possibilité de concevoir un enfant avec des gamètes entièrement extérieurs au couple, de conserver ses gamètes jusqu’à 10 ans en vue d’un futur « projet parental », possibilité pour des enfants issus de don de gamètes d’avoir accès à des données non-identifiantes ou même à l’identité du « donneur ».
En matière de greffes d’organes, le projet de loi autorise d’élargir les « dons croisés » à plusieurs paires de donneurs. Pour ce qui est des recherches sur l’embryon humain, le projet de loi autorise la culture des embryons in vitro jusqu’à 14 jours, autorise la modification transgénique des embryons à des fins de recherche, assouplit l’encadrement des recherches sur les cellules-souches embryonnaires, permet des recherches sur la production de gamètes à partir des cellules souches pluripotentes induites (IPs) et l’utilisation de ces cellules pour la création d’embryons et d’animaux chimères homme/animal.
Le projet ouvre la voie à des investigations génétiques plus larges dans le cadre du diagnostic prénatal, rend le recours à « l’interruption médicale de grossesse » plus facile en supprimant le délai de réflexion et l’autorisation parentale pour une femme mineure, entérine la possibilité d’avorter certains fœtus en cas de grossesse multiple. Il supprime la pratique du diagnostic préimplantatoire en vue de faire naître un enfant qui puisse être source de greffe pour un enfant déjà né (« bébé médicament »).
Institutionnellement, le projet de loi instaure une « délégation parlementaire à la bioéthique » pour chacune des deux assemblées, demande au Comité Consultatif National d’Éthique d’organiser chaque année des débats sur les questions d’éthique biomédicale, demande un examen de la loi tous les cinq ans.
]]>Le samedi 13 avril à Clermont, vivez une journée exceptionnelle de partage, de témoignages et de prière lors de la journée diocésaine des Fraternités en présence de Mgr Benoit-Gonnin.
Un rendez-vous fraternel à ne pas manquer ! 🙏✨
Accueil dès 9h.
Fin de la rencontre à 16h30.
#JourneeDiocesaine
#Fraternites
#Partage&Priere
#missionnaire
Le déjeuner vous sera offert, il est donc impératif de vous inscrire avant le 4 avril.
<< Pour vous inscrire, c'est ici !
ou ici
https://public.enoria.app/pubinsc/event/93f83d33a30d143/open
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Covoiturer pour se rendre à la messe ? C’est l’idée tendance lancée par Emmanuel et un groupe de jeunes chrétiens : ce jeune cadre dans le secteur bancaire a monté cette affaire avec cinq autres membres. C’est lors de ses vacances dans les Alpes se trouvant sans moyen de transport pour se rendre à la messe, que lui est venu cette idée de covoiturage. Un concept devenu régulier avec l’émergence notamment de l’application BlaBlacar.
Alors que certains offices religieux sont parfois célébrés à plusieurs kilomètres du domicile des pratiquants, l’usage de la voiture est devenu prioritaire. Cependant une étude réalisée par l’équipe révèle qu’un paroissien sur quatre a déjà eu des problèmes de transport pour se rendre à la messe. De ce fait, cette application a été conçue afin d’apporter une solution à ce problème. L’occasion d’un moment de convivialité et de rencontres, entre passagers. Le moment privilégié aussi pour tisser des liens entre les paroissiens qui n’ont pas toujours l’occasion d’engager une conversation à la sortie de la messe.
Une application, gratuite pour les utilisateurs et non-lucrative pour ses concepteurs qui nécessite une campagne de financement afin de réunir les 37 000 euros nécessaires au développement de la plate-forme. Les paroissiens de la France entière sont invités à soutenir ce projet ambitieux et innovant.
Liens :
Don https://www.credofunding.fr/fr/GOMesse
Site http://gomesse.fr/
Facebook https://www.facebook.com/gomesse.fr/
Twitter https://twitter.com/GOMesse_fr
Instagram https://www.instagram.com/gomesse.fr/
Réunis à Lourdes, lieu d’espérance et de paix, où les personnes malades et handicapées sont à la première place, les évêques du Conseil permanent de la Conférence des évêques de France a voulu exprimer l’attention avec laquelle ils suivent le débat en cours sur le juste accompagnement de la fin de vie dans notre pays.
Nous sommes profondément sensibles aux souffrances et aux angoisses des malades, des familles et des aidants qui connaissent des situations humaines et médicales particulièrement éprouvantes. Beaucoup de fidèles catholiques se tiennent à leur côté dans les aumôneries d’hôpitaux ou de maisons de retraite, en leur rendant visite à domicile, ou en s’impliquant dans des associations non confessionnelles d’accompagnement des soins palliatifs. Avec eux, grâce à eux, nous avons pleinement conscience que notre société doit encore progresser dans l’accompagnement de la fin de vie et de la grande fragilité.
Nous sommes impressionnés par le dévouement et la compétence des personnels soignants, malgré les difficultés humaines et économiques considérables auxquelles ils doivent aujourd’hui faire face. Nous tenons à saluer le développement encore insuffisant mais significatif des soins palliatifs. Certes, les déserts palliatifs sont encore trop nombreux, la culture palliative n’est pas assez valorisée durant les études médicales, les soins palliatifs doivent encore progresser pour les nourrissons et les enfants. Mais une véritable dynamique palliative, faite d’attention à chaque personne dans son unité et avec son entourage, contribue notablement à l’humanité de notre société.
Nous entendons de très nombreux soignants affirmer vigoureusement que « la main qui prend soin ne peut en aucun cas être celle qui donne la mort ». Nous entendons plusieurs observateurs de notre société, aux opinions philosophiques et aux appartenances religieuses diverses, mettre en garde contre l’injonction de renoncer à vivre que ferait peser sur les personnes fragiles la facilité légale et économique de « l’aide active à mourir ». Nous entendons la révolte, la colère, le sentiment d’injustice qui retentissent face à la souffrance et à la mort comme des appels à une plus grande fraternité et comme la recherche d’une espérance dont nous désirons témoigner, mais en aucun cas comme une légitimation de l’euthanasie ou du suicide assisté.
Voilà pourquoi nous souhaitons que le débat en cours sur la fin de vie constitue l’occasion positive d’un progrès significatif de l’accompagnement et de la prise en charge notamment de la dépendance due au grand âge dans notre pays. Beaucoup de projets législatifs dans ce domaine ne sont malheureusement pas encore allés jusqu’au bout de leurs promesses. Le débat sur le « suicide assisté » pose aussi la question globale de notre engagement collectif pour la prévention du suicide.
Notre époque est marquée par un mélange de négation de la mort et de fascination pour la mort : comment mieux assumer socialement le terme naturel de l’existence terrestre ?
Nous aimons et nous croyons à la liberté. Mais nous affirmons qu’elle ne peut se déployer que si la valeur de la vie de chacun est pleinement reconnue et respectée. C’est dans ce cadre protecteur qu’il convient de mettre en œuvre tous les chemins possibles d’aide active à vivre. Plus que jamais, ce qui peut unir et apaiser notre société si violemment fracturée, comme le montrent les conflits sociaux de ces jours, c’est la vérité de notre engagement collectif pour la fraternité. Voilà ce que, dans la lumière toute proche de Pâques, nous voulons partager avec toute notre société.
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Le 11 février 2018, la guérison de Bernadette Moriau est décalrée "inexplicable en l'état actuel de nos connsaissances scientifiques". Elle est alors reconnue officiellement comme la 70e miraculeé de Lourdes.
L’histoire commence dix ans auparavant : Bernadette ressent, lors d’un pèlerinage, une profonde communion avec Dieu. Trois jours plus tard, de retour dans sa communauté, elle est inondée d’une chaleur qui part du cœur et se répand partout. Une voix lui intime de se débarrasser de son corset, de son attelle de pied, de son neuro-stimulateur, de ses hautes doses de morphine… et de s’extraire de la douleur qui lui rongeait la colonne vertébrale depuis quarante ans. Vont suivre des examens, des commissions d’experts, des visites médicales – plus de 300, toutes disciplines confondues –, des entretiens avec des hommes d’Église avant que la guérison miraculeuse ne soit confirmée.
« Pourquoi moi ? » Bernadette Moriau, qui ne cesse de s’interroger avec humilité sur les raisons mystérieuses de ce miracle, nous ouvre le chemin de sa vie, de ses doutes, de sa foi et de son absolue conviction :
« Aucune vie, aussi cabossée soit-elle, n’est vouée à l’échec ou à l’absurde. C’est justement dans les plis et les tôles froissées de nos parcours que Dieu peut faire des miracles. » Bernadette Moriau.
Sœur Bernadette Moriau, franciscaine oblate du Sacré-Cœur de Jésus à Bresles dans la région de Beauvais, a écrit son témoignage avec l’aide de Jean-Marie Guénois, responsable au Figaro des questions religieuses et du Vatican.
Ed. JC Lattès, 17 €
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vient à Beauvais !
Synopsis
L’abbé Benjamin Bucquoy n’en peut plus : les bonnes dames de la paroisse se détestent, une pétition est lancée contre lui, son évêque ne l’écoute plus… Quand il apprend que le poste dont il rêvait est offert à un autre, il craque…et disparaît.
C’est le début d’une aventure tendre et lumineuse où derrière le comique des situations perce un questionnement de fond : quel est le cœur de notre vocation, comment y rester fidèle malgré la lourdeur du quotidien ?
Le seul-en-scène événement
“Monsieur le Curé fait sa crise, le spectacle” est une adaptation du roman best-seller éponyme écrit par Jean Mercier, publié en 2016. Cette histoire interpelle avec humour les personnes investies de près ou de loin dans la vie d’une paroisse.
Une fable passionnante, drôle et qui fait du bien, où on rit, où on se retrouve, où on éveille subtilement les consciences sur les réalités de la vie d’un prêtre en paroisse.
Réservez votre place sur https://bit.ly/3v2ZfyD?r=qr
Tarif normal 15 €
Tarif donateur 25 € (comprenant un don pour la Pastorale des Jeunes et les Vocations)
Télécharger l'affiche personnalisée
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Le CCFD-Terre Solidaire profite du rendez-vous incontournable qu'est la rentrée, moment encore plus important cette année dans ce contexte de post crise sanitaire, pour lancer une campagne de notoriété visant à mieux faire connaître notre association. Septembre étant également un temps propice aux nouveaux engagements associatifs, nous vous proposons de vous emparer localement de cette campagne pour proposer aux plus grand nombre de rejoindre le CCFD-Terre Solidaire en tant que bénévole.
La campagne de notoriété qui démarrera dès le 5 septembre, réaffirmera que face aux maux qui nous touchent, nous mettons l'humain au cœur de tout. Elle sera notamment déclinée sur le web (réseaux sociaux, bannières) en affichage et dans tous les médias du CCFD-Terre Solidaire.
Vous pouvez participer au rayonnement de cette campagne autour de vous : partagez-la lors des forums des associations, affichez-la dans les paroisses, les mairies.... Et cela d'autant plus que cette campagne constitue un excellent prélude pour aller à la rencontre du public et présenter le CCFD-Terre Solidaire en vue de développer notre réseau de bénévoles.
]]>Paris, le 23 avril 2019
Nouvel ouvrage du Conseil permanent de la Conférence des évêques de France
Le livre « Qu’est-ce que l’homme ? » (Ps 8, 5) offre - sans prétendre à l’exhaustivité - à tout catholique et à toute personne désireuse la possibilité de découvrir l’essentiel des fondements de l’anthropologie catholique.
Ces éléments d’anthropologie se veulent être des outils pour prendre de la hauteur au cœur des débats qui peuvent traverser la société française, notamment à la faveur de la révision des lois de bioéthique. Sans entrer dans des questions qui pourraient porter à polémiques, cet ouvrage n’évite pas les difficultés. Il entre avec réalisme au cœur des questions que porte l’homme et n’occulte pas les délicats équilibres à trouver aujourd’hui pour que l’homme tienne toute sa place dans notre temps.
Cet ouvrage est une invitation à la réflexion et à la responsabilité que les évêques suscitent à travers ces lignes.
Lancée à cette occasion la rubrique anthropologie.catholique.fr est destinée à s’étoffer au fil des semaines offre aux lecteurs la possibilité de prolonger la réflexion en l’enrichissant de multiples manières : par des vidéos, des textes de références, mais aussi des questions afin d’aider ceux qui le souhaitent à échanger et approfondir les thématiques de l’ouvrage.
]]>Le MOOC des Catéchistes #2
Vous avez du mal à prier avec les jeunes ? Comment les accompagner dans le service aux autres ? Comment les aider à discerner ? Vous avez besoin d'éclairage sur l'agir chrétien ? Alors ce MOOC est fait pour vous !
Un MOOC du Collège des Bernardins
Qu’est-ce que croire ? Comment Dieu s’approche-t-il de l’Homme, en quête de sa foi ? Comment l’Homme s’approche-t-il de Dieu, en quête de son mystère ? Ce MOOC propose une enquête sur la foi.
Cliquez sur l'image pour voir la vidéo de présentation.
En accompagnement de ces enseignements, nous vous proposons :
>> Contactez-nous : e-mail
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Vie consacrée et pandémie
À toutes les personnes consacrées du diocèse de Beauvais
Chers Frères et Sœurs,
La situation que nous vivons depuis début mars, et plus encore depuis mardi midi, appelle tous les chrétiens du diocèse à un double sursaut : sursaut d’application stricte des mesures prises par les autorités de l’État pour endiguer la progression du covid19 ; sursaut de charité dans la prière et dans l’action alors que notre pays (comme d’autres, de plus en plus nombreux dans le monde) connait une situation inédite.
Les personnes consacrées (religieuses et religieux ; consacrées dans l'Ordre des Vierges ; prêtres et diacres) ne doivent-elles pas prendre leur part, et toute leur part dans ce double sursaut ? Bien sûr que oui, et vous n’avez pas attendu pour réagir !
Simplement, je veux encore vous encourager à bien mettre en œuvre les mesures qui doivent permettre que le virus ne se propage pas, chez vous, et à travers vous. Des indications vous ont été données par la CORREF ; je n’ai pas besoin d’y revenir (1). Vous aurez à cœur de les appliquer de manière stricte et adaptée à chacune de vos communautés (nos sœurs contemplatives de Jonquières, Senlis et Troussures ne sont-elles pas en « confinement » permanent !)
Il est un « lieu de combat » sur lequel vous êtes particulièrement attendus, celui de la prière. Certes, dans la société française, le confinement donnera à beaucoup un temps introuvable en situation habituelle. Pour certains, ce sera l’occasion d’entrer dans une démarche de Carême et d’intériorité plus profonde ; pour d’autres, le bouleversement des modes et des rythmes de vie, les inquiétudes qui peuvent naitre pour soi-même et pour l’entourage, les craintes quant à l’avenir, etc. pourront encombrer l’esprit et le cœur, et rendre difficile de revenir à l’essentiel. Les catéchumènes s’interrogent sur la possibilité d’être initiés (baptisés, confirmés et « eucharistiés »), à Pâques ! Pour d’autres, (peut-être en êtes-vous ?), l’impossibilité de célébrer l’eucharistie, même le dimanche, ou les incertitudes quant à la célébration du sacrement de pénitence et de réconciliation font monter en eux des mouvements d’incompréhension, de colère et de révolte, vis à vis de ceux qui ont pris certaines décisions, ou vis à vis des responsables de la société civile suspectés de ne pas considérer l’Église et les chrétiens comme il conviendrait. Bref, prier ne sera pas aussi simple qu’on pourrait le penser.
Prier, vous en avez reçu la mission de l’Église et vous savez combien elle est importante et attendue du Seigneur … quand bien même vous n'en voyez pas toujours les effets ! Votre prière se nourrit de la vie du monde, dont vous demeurez solidaires, et duquel vous avez été tiré(e)s.
En ces jours qui bouleversent nos manières de vivre, nos manières de nous préparer à Pâques, les fidèles du diocèse comptent sur votre prière plus intense. Ils s’y associent aussi.
Aussi, que chaque communauté et chaque personne consacrée, redouble d’efforts et d’empressement dans la prière. C’est déjà votre détermination ; que ma « supplique » vienne confirmer ce que l’Esprit Saint a suscité en vos cœurs et en vos communautés diverses.
S’il convient de préciser quelques intentions, en voici quelques-unes (auxquelles vous-mêmes, inspirés par cet Esprit Saint, pouvez en ajouter d’autres) :
- Les malades du coronavirus et leur entourage, dans l’Oise, en France et dans le monde ;
- Les chercheurs, les médecins et tous les personnels soignants qui sont « sur le pont », ou « sur la brèche » pour accueillir les patients, et les soigner ;
- Les pays plus démunis face à ce type de maladie virale pandémique ;
- Nos gouvernants qui ont à gérer la lutte contre cette pandémie, et les gouvernants du monde entier ;
- Tous les acteurs de la vie économique (salariés ; employeurs de grandes ou moyennes ou petites entreprises) dont l’avenir est bouleversé (sinon compromis) ;
- Les familles et les parents inquiets pour leurs enfants ;
- Les enseignants et les membres des équipes éducatives qui doivent inventer et mettre en œuvre la « continuité éducative » qui fera que les enfants seront rejoints et soutenus pour poursuivre leur croissance intellectuelle, humaine et spirituelle ;
- Les personnes en Hôpitaux, Ehpad et Maisons de retraites qui sont confinées, sans pouvoir recevoir de visites, et les personnels soignants qui sont mis à plus rude épreuve ;
- Les personnes âgées, surtout seules, qui peuvent se sentir plus encore isolées, abandonnées …
- … Sans oublier les chrétiens troublés, voire perdus dans leur manière de vivre ce Carême et de cheminer vers Pâques
- … Sans oublier les catéchumènes qui ne pourront être initiés à Pâques, et devront attendre jusqu’à … on ne sait pas aujourd’hui quand … peut-être la Pentecôte (mais la question est encore en réflexion).
- … Sans oublier les prêtres qui doivent inventer de nouvelles manières d’exercer leur ministère ; qui voudraient demeurer proches, sans pouvoir l’être, physiquement en tous cas ;
- Sans vous oublier vous-mêmes, qui pouvez être éprouvé(e)s dans une vie fraternelle perturbée, ou provoqué(e) à inventer de nouvelles formes d’ouverture et d’attentions aux autres ;
Chers frères et sœurs, merci de porter cette part de la mission de l'Église, quand bien même vous n’en verrez pas les résultats !
N’hésitez pas à lui donner une forme particulière et supplémentaire par rapport à votre « régime » habituel de prière.
Pour ce qui me concerne, je m’unirai à votre prière, par une heure quotidienne d’adoration.
Que le Seigneur vous bénisse tous, et chacune et chacun. Que cette épreuve renouvelle et resserre nos liens de communion fraternelle et de charité pour le monde, et son salut.
+ Jacques Benoit-Gonnin,
Évêque de Beauvais, Noyon et Senlis
1. Communication à l’ensemble des communautés religieuses, membres de la CORREF (signée de Sr Véronique MARGRON)
]]>Revivez tout le voyage sur la chaîne KTO TV
J’arrive parmi vous en pèlerin de paix, pour répéter : « Vous êtes tous frères » (Mt 23, 8)
Dans quelques jours, je serai enfin parmi vous ! Je désire tant vous rencontrer, voir vos visages, visiter votre terre, antique et extraordinaire berceau de civilisation. Je viens en pèlerin, en pèlerin pénitent pour implorer du Seigneur pardon et réconciliation après des années de guerre et de terrorisme, pour demander à Dieu la consolation des cœurs et la guérison des blessures. Et j’arrive parmi vous en pèlerin de paix, pour répéter : « Vous êtes tous frères » (Mt 23, 8). Oui, je viens en pèlerin de paix en recherche de fraternité, animé par le désir de prier ensemble et de marcher ensemble, aussi avec les frères et les sœurs d’autres traditions religieuses, sous le signe du père Abraham, qui réunit en une seule famille musulmans, juifs et chrétiens.
Chers frères et sœurs chrétiens, qui avez témoigné de la foi en Jésus au milieu d’épreuves très dures, j’attends avec impatience de vous voir.Je suis honoré de rencontrer une Eglise martyre: Merci pour votre témoignage! Que les nombreux, trop nombreux martyrs que vous avez connus nous aident à persévérer dans l’humble force de l’amour.Vous avez encore dans les yeux les images de maisons détruites et d’églises profanées, et dans le cœur les blessures d’affections arrachées et d’habitations abandonnées.Je voudrais vous apporter la caresse affectueuse de toute l’Eglise, qui est proche de vous et du Moyen-Orient martyrisé et qui vous encourage à aller de l’avant.Ne permettons pas aux terribles souffrances que vous avez éprouvées, et qui me font tant de peine, de prévaloir.Ne cédons pas face à la propagation du mal: les anciennes sources de sagesse de vos terres nous orientent ailleurs, à faire comme Abraham qui, bien qu’ayant tout laissé, ne perdit jamais l’espérance (cf Rm 4, 18); et faisant confiance à Dieu, il donna naissance à une descendance nombreuse comme les étoiles du ciel. Chers frères et sœurs, regardons les étoiles. Là est notre promesse.
C’est pourquoi j’invoque sur vous tous la paix et la bénédiction du Très-Haut. Et à chacun je demande, s’il vous plaît, de m’accompagner par la prière.
Chers frères et sœurs, j’ai beaucoup pensé à vous au cours de ces années, à vous qui avez beaucoup souffert mais qui ne vous êtes pas laissés abattre. A vous, chrétiens, musulmans; à vous, peuples, comme le peuple yézidi, les yézidis, qui ont tant souffert, tant ; tous frères, tous. Maintenant je viens sur votre terre bénie et blessée en pèlerin d’espérance.Chez vous, à Ninive, retentit la prophétie de Jonas, qui empêcha la destruction, qui apporta une espérance nouvelle, l’espérance de Dieu. Laissons-nous gagner par cette espérance qui encourage à reconstruire et à recommencer. Et en ces temps difficiles de pandémie, aidons-nous à renforcer la fraternité, afin d’édifier ensemble un avenir de paix. Ensemble, frères et sœurs de toutes traditions religieuses. Chez vous, il y a des millénaires, Abraham commença son chemin. Aujourd’hui c’est à nous de le poursuivre, dans le même esprit, en parcourant ensemble les voies de la paix ! C’est pourquoi j’invoque sur vous tous la paix et la bénédiction du Très-Haut. Et à vous tous je vous demande de faire la même chose qu’Abraham : marcher dans l’espérance et ne jamais cesser de regarder les étoiles. Et à chacun je demande, s’il vous plaît, de m’accompagner par la prière.
Shukran ! (Merci!)
Le 4 mars 2021
Eglise de l'Immaculée Conception
J’ai attendu avec impatience ce moment. Je remercie Sa Béatitude le Patriarche Ignace Youssif Younan pour ses paroles de salutation, et aussi Madame Doha Sabah Abdallah et le Père Ammar Yako pour leurs témoignages. En vous regardant, je vois la diversité culturelle et religieuse des habitants de Quaraquosh, et cela montre quelque chose de la beauté que votre région offre pour l’avenir. Votre présence ici rappelle que la beauté n’est pas unicolore, mais qu’elle rayonne par la variété et les différences.
Votre présence ici rappelle que la beauté n’est pas unicolore, mais qu’elle rayonne par la variété et les différences.
En même temps, avec grande tristesse, nous regardons tout autour et nous voyons d’autres signes, des signes du pouvoir destructeur de la violence, de la haine et de la guerre. Que de choses ont été détruites ! Et combien doivent être reconstruites. Notre rencontre montre que le terrorisme et la mort n’ont jamais le dernier mot. Le dernier mot appartient à Dieu et à son Fils, vainqueur du péché et de la mort. Même au milieu des dévastations du terrorisme et de la guerre, nous pouvons voir, avec les yeux de la foi, le triomphe de la vie sur la mort. Vous avez devant vous l’exemple de vos pères et de vos mères dans la foi qui ont adoré et loué Dieu en ce lieu. Ils ont persévéré dans une ferme espérance sur leur chemin terrestre, faisant confiance à Dieu qui ne déçoit jamais et qui nous soutient toujours de sa grâce. Le grand héritage spirituel qu’ils nous ont laissé continue de vivre en vous. Etreignez cet héritage ! Cet héritage est votre force ! Le moment est venu de reconstruire et de recommencer, en se confiant à la grâce de Dieu qui guide le destin de tout homme et de tous les peuples. Vous n’êtes pas seuls ! L’Eglise toute entière vous est proche, par la prière et la charité concrète. Et dans cette région, beaucoup vous ont ouvert les portes quand il y en avait besoin.
Très chers, c’est le moment de restaurer non seulement les édifices, mais aussi d’abord les liens qui unissent communautés et familles, jeunes et anciens. Le prophète Joël dit : « Vos fils et vos filles prophétiseront, vos anciens seront instruits par des songes, et vos jeunes gens par des visions » (Jl 3, 1). Quand les anciens et les jeunes se rencontrent, que se passe-t-il ? Les anciens rêvent, ils rêvent d’un avenir pour les jeunes ; et les jeunes peuvent accueillir ces rêves et prophétiser, les mettre en œuvre. Quand les anciens et les jeunes s’unissent, nous préservons et transmettons les dons que Dieu fait. Regardons nos enfants sachant qu’ils hériteront non seulement d’une terre, d’une culture et d’une tradition, mais aussi des fruits vivants de la foi que sont les bénédictions de Dieu sur cette terre. Je vous encourage à ne pas oublier qui vous êtes et d’où vous venez ! à protéger les liens qui vous tiennent ensemble, à protéger vos racines !
En ces instants, rappelez-vous que Jésus est à votre côté. Ne cessez pas de rêver ! Ne vous rendez pas, ne perdez pas l’espérance !
Il y a sûrement des moments où la foi peut vaciller, lorsqu’il semble que Dieu ne voit pas ni n’agit. Cela a été vrai pour vous aux jours les plus sombres de la guerre, et cela est vrai aussi en ces jours de crise sanitaire mondiale et de grande insécurité. En ces instants, rappelez-vous que Jésus est à votre côté. Ne cessez pas de rêver! Ne vous rendez pas, ne perdez pas l’espérance ! Du ciel, les saints veillent sur nous : invoquons-les et ne nous lassons pas de demander leur intercession. Et il y a aussi “les saints de la porte d’à côté” « qui vivent proches de nous et sont un reflet de la présence de Dieu » (Exhort. ap. Gaudete et exsultate, n. 7). Cette terre en a beaucoup, c’est une terre où les saints, hommes et femmes, sont nombreux. Laissez-les vous accompagner vers un avenir meilleur, un avenir d’espérance.
Le Père Ammar, en rappelant les horreurs du terrorisme et de la guerre, a remercié le Seigneur qui vous a toujours soutenus dans les temps bons et dans les mauvais, dans la santé et dans la maladie. La gratitude naît et grandit lorsque nous nous souvenons des dons et des promesses de Dieu. La mémoire du passé façonne le présent et nous porte en avant vers l’avenir.Une chose qu’a dite Madame Doha m’a bouleversé : elle a dit que le pardon est nécessaire de la part de ceux qui ont survécu aux attaques terroristes. Pardon : c’est une parole clé. Le pardon est nécessaire pour demeurer dans l’amour, pour demeurer chrétien. La route vers une pleine guérison peut-être encore longue, mais je vous demande, s’il vous plait, de ne pas vous décourager. La capacité de pardonner est nécessaire et, en même temps, le courage de lutter. Je sais que cela est très difficile. Mais nous croyons que Dieu peut apporter la paix sur cette terre. Nous lui faisons confiance et, avec toutes les personnes de bonne volonté, nous disons “non” au terrorisme et à l’instrumentalisation de la religion.
A tout moment, rendons grâce à Dieu pour ses dons et demandons-lui d’accorder paix, pardon et fraternité à cette terre et à ceux qui l’habitent. Ne nous lassons pas de prier pour la conversion des cœurs et pour le triomphe d’une culture de la vie, de la réconciliation et de l’amour fraternel, dans le respect des différences, des diverses traditions religieuses, dans l’effort de construire un avenir d’unité et de collaboration entre toutes les personnes de bonne volonté. Un amour fraternel qui reconnaisse « les valeurs fondamentales de la commune humanité, valeurs au nom desquelles on peut et on doit collaborer, construire et dialoguer, pardonner et grandir »
(Enc. Fratelli tutti, n.283).
Que les femmes soient respectées et protégées ! Que leur soient données attention et opportunités !
Lorsque j’arrivais avec l’hélicoptère, j’ai vu la statue de la Vierge Marie sur cette église de l’Immaculée Conception, et je lui ai confié la renaissance de cette ville. La Vierge non seulement nous protège d’en haut, mais elle descend vers nous avec une tendresse maternelle. Sa représentation a été ici blessée et bafouée, mais le visage de la Mère de Dieu continue à nous regarder avec tendresse. Car c’est ainsi que font les mères : elles consolent, elles confortent, elle donne vie. Et je voudrais dire merci de tout cœur à toutes les mères et les femmes de ce pays, des femmes courageuses qui continuent à donner vie malgré les exactions et les blessures. Que les femmes soient respectées et protégées ! Que leur soient données attention et opportunités ! Et maintenant prions ensemble notre Mère, invoquant son intercession pour vos nécessités et vos projets. Je vous mets tous sous sa protection. Et je vous demande, s’il vous plait, de ne pas oublier de prier pour moi.
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L'Église s'oppose à l’acharnement thérapeutique mais réaffirme, comme «enseignement définitif», que «l'euthanasie est un crime contre la vie humaine», que «toute coopération formelle ou matérielle immédiate à un tel acte est un péché grave» et qu'aucune autorité «ne peut légitimement» l’imposer ou l’autoriser. Voilà ce qu’on peut lire dans la lettre de la Congrégation pour la Doctrine de la foi «Samaritanus bonus» portant «sur la prise en charge des personnes dans les phases critiques et terminales de la vie». Elles est publiée ce mardi 22 septembre, après avoir été approuvée par le Pape François en juin dernier.
Télécharger la lettre de la Congrégation pour la Doctrine de la foi «Samaritanus bonus»
La publication de ce texte qui réaffirme la position plusieurs fois exprimée par l'Église sur le sujet, a été jugée nécessaire en raison de la multiplication des cas apparaissant dans les médias mais également de l'avancement de la législation qui, dans un nombre croissant de pays, autorise l'euthanasie et le suicide assisté pour les personnes gravement malades, mais aussi de celles qui sont seules ou qui ont des problèmes psychologiques. L'objectif de la lettre est de fournir des indications concrètes pour actualiser le message du Bon Samaritain. Même lorsque «la guérison est impossible ou peu probable, l'accompagnement médical, infirmier, psychologique et spirituel est un devoir incontournable, car le contraire constituerait un abandon inhumain du malade».
«Guérir si possible, toujours prendre soin». Ces paroles de Jean-Paul II expliquent que l'incurable n'est jamais synonyme d'insoignable. Prendre soin de la personne malade jusqu'au bout, «être avec» elle, l'accompagner en l'écoutant, en lui faisant sentir qu'elle est aimée et désirée, voilà ce qui peut éviter la solitude, la peur de la souffrance et de la mort, et le découragement qui en découle… autant d’éléments qui sont aujourd'hui parmi les principales causes des demandes d'euthanasie ou de suicide assisté.
Dans le même temps, il est souligné que «des abus sont fréquemment signalés par les médecins de personnes dont on a supprimé la vie alors qu’elles n'auraient jamais souhaité pour elles-mêmes l'application de l'euthanasie».
L'ensemble du document se concentre sur le sens de la douleur et de la souffrance à la lumière de l'Évangile et du sacrifice de Jésus : «la douleur n'est existentiellement supportable que là où il y a l’espérance. L'espérance que le Christ transmet aux souffrants et aux malades est celle de sa présence, de sa réelle proximité». Les soins palliatifs ne suffisent pas «si personne ne “se tient”pas aux côtés du malade, et ne témoigne de sa valeur unique et irremplaçable».
«La valeur inviolable de la vie est une vérité fondamentale de la loi morale naturelle et un fondement essentiel de l'ordre juridique», affirme la lettre. «De même que nous ne pouvons pas accepter un autre homme comme esclave même s'il nous le demande, nous ne pouvons pas choisir directement de porter atteinte à la vie d'un être humain, même s'il l'exige», poursuit le document.
«Supprimer un malade qui demande l'euthanasie ne signifie pas "reconnaître son autonomie et la valoriser", mais au contraire, cela signifie "ignorer la valeur de sa liberté, fortement conditionnée par la maladie et la douleur, et la valeur de sa vie». Ce faisant, on «décide à la place de Dieu le moment de la mort». Pour cette raison, souligne la Congrégation pour la Doctrine de foi, «l’avortement, l’euthanasie et même le suicide délibéré […] corrompent la civilisation, déshonorent ceux qui s’y livrent plus encore que ceux qui les subissent et insultent gravement à l’honneur du Créateur».
Le document mentionne plusieurs facteurs limitant la capacité à saisir la valeur de la vie. Le premier est une utilisation équivoque du concept de «mort digne» par rapport à celui de «qualité de vie», dans une perspective anthropologique utilitaire. La vie n'est considérée comme «digne» qu'en présence de certaines caractéristiques psychiques ou physiques. Un deuxième obstacle est une compréhension erronée de la «compassion». La véritable compassion humaine «ne consiste pas à provoquer la mort mais à accueillir le malade, à le soutenir» en lui offrant de l'affection et des moyens pour soulager sa souffrance. Un autre obstacle est l'individualisme croissant, qui est la racine de la «maladie la plus latente de notre temps : la solitude».
Face aux lois qui légalisent les pratiques euthanasiques, «des dilemmes parfois infondés» se posent «sur la moralité d'actes qui, en réalité, ne sont rien d'autre que des actes dus aux simples soins de la personne, comme par exemple hydrater et nourrir un malade dans un état d'inconscience sans perspective de guérison".
Face à la multiplication des protocoles médicaux de fin de vie, la Congrégation pour la Doctrine de la foi s'inquiète de «l'abus largement répandu d'une perspective euthanasique»sans consultation du patient ou des familles. C'est pourquoi le document réaffirme comme «enseignement définitif» que «l'euthanasie est un crime contre la vie humaine», un acte «intrinsèquement mauvais quelles que soient l'occasion ou les circonstances». Par conséquent, toute coopération immédiate, formelle ou matérielle, est un grave péché contre la vie humaine qu'aucune autorité ne «peut légitimement» imposer ou autoriser. «Ceux qui adoptent des lois sur l'euthanasie et le suicide assisté se rendent donc complices de péchés graves» et sont «coupables de scandale car ces lois contribuent à déformer la conscience, même des fidèles».
Aider une personne suicidaire est ainsi «une collaboration indue à un acte illicite». L’acte d’euthanasie reste inadmissible même lorsque le désespoir ou l’angoisse peuvent diminuer ou même rendre insuffisante la responsabilité personnelle de ceux qui l’exige. «Il s’agit donc toujours d'un choix erroné» et le personnel soignant ne peut jamais «se prêter à pratiquer l’euthanasie ni à la demande de la personne concernée, et encore moins de ses proches» insiste le document. Les lois qui légalisent l’euthanasie sont par conséquent injustes. «Les supplications des très grands malades demandant parfois la mort ne doivent pas être comprises comme l’expression d’une vraie volonté d’euthanasie» mais comme une demande d’aide et d’affection.
Le document explique que «protéger la dignité de la fin de vie signifie exclure à la fois l'anticipation de la mort, mais également son report par ce qu’on appelle un ‘acharnement thérapeutique’», rendu possible par la médecine moderne qui est capable de «retarder artificiellement la mort, sans que le patient ne reçoive un réel bénéfice dans certains cas». Et donc, dans l'imminence d'une mort inévitable, «il est légitime de prendre la décision de renoncer aux traitements qui ne feraient qu'apporter une prolongation précaire et douloureuse de la vie», mais sans interrompre le traitement normal dû à la personne malade. Le renoncement à des moyens extraordinaires et disproportionnés exprime donc l'acceptation de la condition humaine face à la mort. Mais la nourriture et l'hydratation doivent être correctement assurées car «un soin de base dû à chaque homme consiste à administrer la nourriture et les fluides nécessaires».
Les paragraphes consacrés aux soins palliatifs, «un outil précieux et indispensable» pour accompagner le patient, sont importants : Procéder à ces soins réduit considérablement le nombre de personnes demandant l'euthanasie. Parmi les soins palliatifs -qui ne peuvent jamais inclure la possibilité d'euthanasie ou de suicide assisté-le document inclut également l'assistance spirituelle au patient et à ses proches.
Lors du traitement, il est essentiel que le patient ne se perçoive pas comme un fardeau, mais qu’il ressente au contraire «la proximité et la considération de ses proches». Pour mener à bien cette mission, la famille a besoin d'aide et de moyens adéquats. Il est donc nécessaire, précise la lettre, que les États «reconnaissent la fonction sociale première et fondamentale de la famille et son rôle irremplaçable, également dans ce domaine, en lui fournissant les ressources et les structures nécessaires pour la soutenir».
Depuis leur conception, les enfants atteints de malformations ou de pathologies de tous types «sont de petits patients que la médecine d’aujourd’hui est toujours capable d’assister et d’accompagner en respectant la vie». Dans la lettre, il est signifié qu’en cas de «pathologies prénatales (…) qui conduiront certainement à la mort dans un court laps de temps, et en l'absence de thérapies capables d'améliorer l’état de santé de ces enfants, il ne faut en aucun cas les abandonner en termes de soins, mais les accompagner comme tout autre patient jusqu'à ce que survienne la mort naturelle», sans suspendre la nutrition ou l’hydratation. Ces paroles peuvent se référer à plusieurs cas récents mentionnés par la presse. Le «recours parfois obsessionnel au diagnostic prénatal» et «l'émergence d'une culture hostile au handicap qui conduit souvent au choix de l'avortement -qui "n'est jamais légal"» y sont également condamnés.
Pour soulager la douleur du patient, la thérapie analgésique recourt à des médicaments qui peuvent provoquer une suppression de la conscience. L’Église affirme «la licéité de la sédation dans le cadre des soins qui sont offerts au patient, afin que la fin de la vie se fasse dans la plus grande paix possible et dans les meilleures conditions intérieures. Cela est également vrai dans le cas des traitements qui rapprochent le moment de la mort (sédation palliative profonde en phase terminale), toujours si possible avec le consentement éclairé du patient, précise le document. La sédation est en revanche inacceptable si elle est administrée pour «causer directement et intentionnellement la mort».
Il est «toujours trompeur» de penser que l’absence de conscience minimale, chez des sujets qui respirent de façon autonome, «soient le signe que le malade a cessé d'être une personne humaine avec toute la dignité qui lui est propre». Même dans ces états végétatifs et de conscience minimale, la personne malade «doit être reconnue dans sa valeur et assisté par des soins appropriés», que sont l’hydratation et la nourriture.
Enfin, la lettre demande aux Églises locales des positions claires et unifiées sur ces questions et invite les établissements de santé catholiques à «être des témoins fidèles de l'indispensable attention éthique au respect des valeurs humaines fondamentales et des valeurs chrétiennes qui constituent leur identité, en s’abstenant de comportements clairement illicites moralement et par une obéissance déclarée et formelle aux enseignements du Magistère ecclésial».
Les lois approuvant l'euthanasie non seulement «ne créent pas d'obligations pour la conscience» mais elles entraînent «une obligation sérieuse et précise de s'y opposer par l'objection de conscience» poursuit le texte. Le médecin «n'est jamais un simple exécutant de la volonté du patient» et «conserve le droit et le devoir de se soustraire à des volontés s’opposant au bien moral tel que sa propre conscience le perçoit». Il est d'autre part rappelé qu'il n'existe «aucun droit de disposer arbitrairement de sa vie, de sorte qu'aucun agent de santé ne peut devenir le tuteur exécutif d'un droit inexistant».
Il est important que les médecins et tout membre du personnel de santé soient formés à l'accompagnement chrétien des mourants, comme l'ont montré les récents événements dramatiques liés à l'épidémie de Covid-19.
Quant à l'accompagnement spirituel et sacramentel de ceux qui demandent l'euthanasie, «même lorsqu'une personne n'est pas en condition objective pour recevoir les sacrements, une proximité qui invite toujours à la conversion est nécessaire» mais «aucun geste extérieur pouvant être interprété comme une approbation de l'euthanasie, tel que rester présent au moment de sa réalisation, n'est admissible. Une telle présence ne peut être interprétée que comme une complicité».
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Selon le Chanoine MARTINVAL, d’après la version laissée par l’abbé Pierre Honoré LAFFINEUR (né le 04/06/1804 à Savignies -décédé le 20/06/1878 à Maignelay) curé de Gannes pendant 46 ans et inhumé dans le cimetière de Gannes :
Deux voituriers venant de Beauvais, chargés de marchandises et passant dans le village, une fille de la paroisse se trouva à leur rencontre. La voyant seule, les deux voituriers l’insultèrent avec violence, voulant la suborner et lui ôter la vie. Cette fille ayant épuisé toutes ses forces et ne sachant plus à qui avoir recours pour échapper à la fureur de ces deux malheureux se réclama à la Mère des miséricordes pour venir la secourir. Sa prière fut exaucée. La Sainte Vierge permit que plusieurs habitants de la paroisse vinrent au secours de la fille. …. ».
Les voituriers prirent la fuite laissant sur place chevaux et voitures qui furent confisqués puis vendus selon la proposition du Prince de Courtenay, Seigneur des lieux. L'argent récolté servit à bâtir, sur le lieu de l'agression, une chapelle en l'honneur de Notre Dame de Bon Secours.
Les Archives de la fabrique nous informent que la chapelle fut également bâtie "à la sollicitation des Pères Capucins faisant mission dans la paroisse en 1683".
[ source Archives départementales de l'Oise - archives de la Fabrique de Gannes du 29 mai 1685 – 2 G233/1 à 2 de 1550 à 1788].
Le 6 avril 1756 vers neuf heures du matin la région fut secouée par un fort tremblement de terre avec des secousses pendant environ deux heures, allant jusqu'à faire sonner les cloches. Les habitants se rendirent aussitôt à la chapelle et à l'église pour prier. Une nouvelle et très importante secousse se fit de nouveau sentir le 30 avril à 21 heures 15.
Le 1er mai, les paroissiens de Quinquempoix, Welles, La Hérelle, Catillon, Tartigny vinrent, nu-pieds, demander à la Vierge d'intercéder pour que son Fils les protège. Les tremblements de terre cessèrent. Cet événement a-t-il un lien avec le tremblement de terre de Lisbonne du 1er novembre 1755 ?.
[source : Adrien ROGER et Extrait de l’article Un tremblement de terre au tournant du XVIIIe siècle : l’essaim sismique de l’Oise de mars-avril 1756 , par Grégory Quenet in Annales historiques Compiègnoises n°75-76, pp.26-35, printemps 1999.]
La dévotion fut telle que le conseil de fabrique décida le 25 février 1776 (indication gravée dans une pierre à droite du portail) la construction d'une nouvelle chapelle, plus grande, sur le même emplacement avec un agrandissement du terrain donné par Me Robert WARMÉ notaire et laboureur à Gannes et bénie par Claude Alexandre PORTIER curé de Sains et doyen rural de Breteuil le mercredi 2 Juillet 1777 avec la permission accordée par Mgr de la Rochefoucauld évêque comte de Beauvais, vidame de Gerberoy, Pair de France en présence des curés des villages alentours et de Me CAVÉ D'HAUDICOURT conseiller à la cour des monnaies de Paris et Seigneur de Gannes.
Depuis, chaque année, les paroissiens de la région viennent s’y recueillir en priant la Vierge au raisin pendant la neuvaine, initialement du 2 Juillet au 10 Juillet. Au XXIe siècle, le début de la neuvaine fut reporté au dimanche ou lundi suivant le retour du Pèlerinage diocésain à Lourdes (pèlerinage dans la première semaine de Juillet).
A la Révolution en 1794-1795, il fut décidé d'abattre la boiserie et les grilles de la chapelle et le curé Jean François PIBOEN vendit l'autel au curé de Torcy, village de la Somme. Mme Adélaïde DUPONT veuve d'HAUDICOURT, demeurant à Bonvillers ayant racheté la chapelle en 1804 la rendit au culte (plaque ci-dessous sur le mur intérieur ouest), ajouta un avant-corps en bois à la façade formant caquetoire, le clocher et fit don de la cloche en 1807 bénie par le curé Jean BURGOT.
(Note : Caquetoir : espace couvert, souvent en forme d'auvent, situé devant l'entrée des églises. Il tire son nom du verbe caqueter (« bavarder à tort et à travers »). Les paroissiens pouvaient s'y abriter après les offices pour échanger les nouvelles. ). © Photo Quentin DE BEULE -2020
Une sacristie fut accolée au chevet du sanctuaire en 1832 avec les fonds provenant du tronc de la chapelle.
Des miracles sont rapportés, à partir des récits de témoins.
Certains documents donnent l'année 1300 pour la première chapelle. En effet, il existait bien une chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours qui fut construite en 1300 à l'initiative de Thibaud de NANTEUIL Evêque de Beauvais. Elle se situait de l'autre côté du village en allant vers le bois de Gannes sur le chemin dit de Notre-Dame (vers Mory-Montcrux). A la fin du XIXe siècle quelques pierres étaient encore présentes sur le lieu.
[source : Histoire du Diocèse de Beauvais depuis son établissement , au 3.me siècle jusqu'au 2 septembre 1792 par l'Abbé Delettre Vicaire Général, Doyen du Châpitre - 1843 Volume 2 - page 362 et un document de Me Francis Naquet]
On peut supposer qu'elle avait été fortement endommagée, voire détruite avant 1683 au cours des très nombreux conflits, peut-être même dès 1636-1637 par les troupes de Jean de Werth et Ottavio Piccolomini qui ravagèrent la région (guerre de Trente Ans) vers Saint-Just en brûlant au passage, Montiers, La Hérelle, Plainville, Rocquencourt, enlever les cloches de Mory-Moncrux qu'on retrouvera plus tard à l'abbaye de Corbie, et incendier Quinquempoix.
[source : Société archéologique et historique de Clermont. Comptes-rendus et mémoires de la Société archéologique et historique de Clermont-en-Beauvaisis. 1960-1961- Gallica].
Ainsi la chapelle construite en 1683 aurait repris le nom de la précédente et correspondant bien à l'événement ayant entraîné sa construction. Les Bulletins du diocèse de Beauvais, entre autres, relatent les différentes célébrations de la neuvaine. Les fidèles venaient de toute la région, à pied, par le train. Le chiffre de 1500 fidèles assistant aux messes a été avancé.
Ainsi en 1883 le premier jour de la neuvaine, messes basses de 6 heures jusqu'à 10 heures. Puis retour à l'église. L'après-midi vêpres à l'église puis procession à la chapelle et retour à l'église sous la présidence de l'abbé Boufflet, archiprêtre de Clermont.
Les autres jours les messes se succédaient d'heure en heure de 5 à 9 heures avec messe chantée à 8 heures. Il était accordé une indulgence plénière à qui communiait en priant pour le Souverain Pontife, comme il était accordé une indulgence plénière pour le dernier samedi du mois de Mai (le Pape Grégoire XVI janvier 1843).
Les documents de 1883, 1938, 1960 indiquent que pendant les neuvaines la messe du jeudi vers 11 heures était réservée aux enfants ( jour de repos des écoliers en ces années).
Le 20 septembre 1896 : Installation du chemin de croix.
Entre les deux guerres mondiales, des messes de la mission belge étaient célébrées avec allocution en flamand pour la communauté d'origine belge présente dans le village et les villages environnants.
Après la guerre de 1940-45 les messes étaient célébrées à 8 heures et les grand-messes à 11 heures.
Des marchands venant de Montdidier (comme monsieur LEGRAND qui venait à vélo de Montdidier, laissant le matériel chez un habitant du village) vendaient des objets religieux (statues, chapelets, images, médailles etc...), des pains d'épices et notamment les nonnettes très appréciées à la sortie de la messe car il fallait respecter le jeûne eucharistique (à partir de minuit jusqu'en 1957 avec possibilité de boire de l'eau à partir de 1953) pour pouvoir communier.
Depuis le XXIe siècle les messes sont célébrées à 18h30 avec quelques exceptions.
[sources : informations recueillies et mises en pages dans la brochure que l'on peut se procurer intitulée : CHAPELLES ET PROCESSIONS autour de Maignely-Montigny *** Le Plateau Picard par Lauriane Leroy - pages 35 à 62].
Téléchargez le texte ci-dessus agrémenté de photos ©Michel Sorel(pages 1 à 5)
Téléchargez la suite©Michel Sorel (pages 6 à 10)
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© Michel Sorel
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La Nativité
Le Songe des bergers
La Présentation au Temple
Le départ des (Rois) Mages
Hérode reçoit les Mages
L’Adoration des Mages
Le Massacre des Innocents
La Fuite en Egypte
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Un pèlerinage à Rome, diacres, évêque, épouses
Une Famille visitée par le Christ en permanence
Le mien : Saint-Jean-Baptiste à Beauvais
Indifféremment
Avec mon épouse : Anne-Marie
Heureux les artisans de paix
La chasteté
Les néophytes
Ramener à la table des négociations les adversaires en Ukraine
L'enfance maltraitée
La fête de la communauté Beauvais-sud
Saint François d'Assise
Bakhita de Véronique Olmi et une immense biographie de Winston Churchill
Consens à tes limites
Renaître d'en haut
L'extraordinaire dans l'ordinaire de la vie
Jardin
Arroser avec l'eau de pluie
La patience
Une ville du bord de la Loire
Un compliment
Les Fables de La Fontaine
Les accords du blues
Joseph d'Arimathie
Un voisin de ma rue
Une blague belge
Égarer mon portable
Le souci de faire de la place à chacun
Excessif avec le chocolat noir
La souffrance des enfants
La mauvaise foi
Les décalages, les quiproquos
Être vivant le matin
Le père Jean-Claude Guéguen
Fais pas de co...
La visite de Nicodème à Jésus de nuit
Réjouis toi, Marie
Entonner un chant
Notre couple
Faire une bonne promenade avec tous les miens
Mes parents et une petite-fille
Merci pour toutes les beautés du monde
Entre dans la Joie d'Ici
]]>Alain Rumeau est marié à Évelyne depuis 53 ans ; ils ont deux enfants et des petits-enfants.
J’étais un jeune diacre ; un couple d’un milieu modeste m’a demandé de baptiser son premier enfant. Le banquet était un sandwich simple mais savoureux, un petit goût spirituel de Bethléem.
Un rassemblement de croyants en Jésus-Christ qui s’est organisé depuis 2000 ans pour vivre de son message.
Celui de mon village de Ressons-sur-Matz.
À mon domicile, à mon bureau devant la photo de mon arrière-grand-mère maternelle. Je ne l’ai pas connue, mais je sais qu’elle allait à la messe tous les jours, et je la sens présente quand je prie Laudes et Vêpres.
Avec mon épouse.
« Heureux les pauvres de cœur », elle rassemble toutes les autres. Celui qui a un cœur assez grand pour accueillir toutes les situations de détresse qu’il a autour de lui, qu’elles soient physiques, morales ou spirituelles.
« La tempérance, » garder un équilibre en tout ce que nous faisons et vivons, sans tomber dans les excès dans un sens ou dans un autre.
Je placerai en premier les sapeurs-pompiers, ils font rêver les petits enfants, en deuxième position un peu moins connus les sauveteurs en mer de la SNSM.
Je ferai comme le roi Salomon, je demanderai à Dieu la sagesse et le discernement pour la dernière partie de ma vie.
Quand la mer devient un cercueil pour de nombreux migrants : hommes, femmes et enfants qui fuient leur pays d’origine.
La naissance de Paul, un arrière-petit-neveu
Jean-Marie Vianney, malgré ses origines modestes et peu d’instruction, il est devenu un modèle pour tous les ministres ordonnés.
Enquête sur les apparitions de la Vierge d’Yves Chiron - Ed Perrin-Mame
Poser les fondations de sa maison sur le roc (cf. Mt 7,24).
« Je te loue, Père Seigneur du ciel et de la terre, d’avoir caché cela aux sages et aux intelligents et de l’avoir révélé aux tout petits » Mt 11,25
Dans notre monde actuel tout particulièrement, c’est être fidèle à sa mission de baptisé et donner envie aux incroyants et aux ignorants de venir nous rejoindre comme disciples de Jésus.
Humour
En tant qu’ancien professionnel de l’écologie : s’informer et mettre en place des gestes comme récupérer l’eau de pluie.
Philosophe
Mon village Ressons-sur-Matz
Un sourire
Mon couteau suisse et un briquet.
Glorious : « Que ma bouche chante ta louange »
Jonas
Le bisou à mon épouse
Mon épouse
Quand Robin, mon petit-fils de 3 ans, a essayé de se faire porter malade pour ne pas aller à l’école
Chercher ce que j’ai perdu
Optimiste
La gourmandise
La violence faite aux enfants
L’injustice
Les gens qui se prennent au sérieux.
La bonne entente entre nos deux enfants
Père Guy Gilbert, le prêtre des loubards.
Que sert à l’homme de gagner l’Univers s’il vient à perdre son âme ?
Les noces de Cana
Le Notre Père
Le don de guérison
Nos enfants et petits-enfants
Je mettrais tout en ordre pour faciliter le boulot de ma descendance, pendant et après les obsèques.
Mon arrière-grand-mère, qui m’accompagne chaque jour, dans la prière
Toi qui as accueilli le bandit crucifié avec Jésus, tu ne peux pas me laisser dehors ?
C’est à voir…
]]>Prêtre depuis 21 ans, 50 ans, membre de l’Institut du Christ-Roi Souverain-Prêtre.
Il est chancelier pour le diocèse de Beauvais, responsable du bureau des mariages et vicaire selon le missel de 1962 sur la paroisse Sainte-Marie-Madeleine-en-Beauvaisis.
Au cours de mes études universitaires.
Quand une personne demande à se confesser.
« Jésus-Christ, mais Jésus-Christ répandu et communiqué » (Bossuet in Pensées chrétiennes et morales).
L’église Notre-Dame de l’Assomption à Beauvais, communément appelée Notre-Dame de Marissel à cause du nom du quartier.
Dans une église romane ou gothique.
Avec tous ceux qui veulent.
« Heureux les affligés car ils seront consolés » (Matthieu 5, 4)
Le courage.
Remettre à l’honneur l’Adoration eucharistique et les confessions.
Ceux qui ne succombent pas aux sirènes du monde, au fait majoritaire pour être tranquilles quitte à s’assoir sur leur conscience et à vivre en contradiction avec la foi et la morale évangélique.
Celui que Dieu voudra bien accomplir à travers moi.
Les chefs qui ne servent pas le Bien Commun mais leur intérêt personnel.
Un dialogue avec un catéchumène qui découvre avec enthousiasme la Foi.
La Très Sainte Vierge Marie.
L’évangile selon saint Jean.
Simon-Pierre répondit : « Seigneur, à qui irions-nous ? Vous avez les paroles de la vie éternelle » (Jean 6, 68).
« Moi, Je suis la Voie, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi » (Jean 14, 6).
Celui qui choisit le Christ et lui reste fidèle.
L’humilité qui ouvre à Dieu.
Porter un pull de plus.
Lourdes.
Une messe.
Une gourde d’eau.
Le Dixit Dominus de Georg Friedrich Haendel (1707) qui reprend le psaume 109.
Saint Joseph.
Le signe de Croix.
La personne que la Providence de Dieu met sur mon chemin.
À la cantine de la Maison diocésaine.
Lorsqu’on me parle sans me regarder en même temps.
Le manque de patience.
Le non-respect de la vie dès sa conception.
Les promesses non tenues.
Une mère avec son enfant.
Le comique de situation.
Servir le Seigneur.
Trentain grégorien pour le repos de son âme (30 messes de suite), projets et partage.
La parabole du fils prodigue (Luc 15, 11-32).
Le Pater (Le Notre Père).
Le don des langues étrangères.
Action de grâce, demande de pardon et abandon à l’amour divin.
Mes parents.
Merci Seigneur.
]]>Ma première célébration, juste après l’ordination, avec la communauté de PONT-STE-MAXENCE, juste avant Noël.
De petites communautés, priantes et qui s’entraident.
Je suis attiré par tous les clochers, ils sont tous beaux, avec une histoire locale particulière, notre paroisse de PONT-STE-MAXENCE, en recèle de très beaux.
Chez moi, tous les jours, en lisant l’évangile du jour
Avec Céline, mon épouse, lors de la liturgie des heures
Heureux les humbles de cœurs, le royaume des cieux est à eux
Dire les choses clairement, quand des injustices naissent
Tous ceux que se mobilisent, pour de nobles causes, climat, lutte contre les injustices, migrants, personnes en situation de handicap, cela peut être chacune, chacun d’entre-nous.
Permettre à d’autres d’en faire aussi
L’argent, de façon démesurée, alors que certains en manque pour vivre dignement.
Les rencontres de notre équipe diocésaine de la PPH, avec des personnes en situation de handicap, sur le Diocèse
St François d’Assise
Actuellement, « Résurrections », de Denis MOREAU
Ne pas se résoudre, vivre toujours dans l’espérance !
« Aimez-vous les uns, les autres », c’est apparemment simple, mais exigeant
Vivre pleinement sa foi, en témoigner, simplement, chaque jour.
Merci pour tout
Bien respecter le tri- sélectif, éteindre les lumières.
Déterminé
Là, où je me trouve, à l’instant T, je découvre
Je dois penser aux cadeaux plus souvent.
Les numéros du journal « LA CROIX », que je n’ai pas le temps de lire la semaine et que je lis le WE, revue de presse.
En ce moment, les chants de Louange du Groupe « HOPEN ».
Plusieurs, modestement, tous les invisibles, celles et ceux qui se sont convertis .
Ouvrir les volets, laisser entrer la lumière
Robert BADINTER, défenseur des droits et des libertés.
Lors des 18 ans de notre fille Élise, en famille, une belle fête de famille
Les choses mal rangées
Déterminé et parfois impulsif
Être maniaque
La maltraitance des enfants
Le manque d’écoute, les incompréhensions
Les situations décalées, dans la vie de tous les jours.
Dans mon métier, voir que des situations sociales avancent, changent
Le Père Jean-Pierre DEKASMACKER, dans le Diocèse de LILLE, aumônier de la JOC, un ami.
Tu te rends compte de tout ce que cela a engendré…
Quand Jésus est à côté des disciples, qui sont seuls, et qui ne le reconnaissent pas, sur les chemins d’Emmaüs.
Le Notre Père
Anticiper les choses qui vont arriver, je dois admettre le temps présent.
Ma famille, mon épouse, mes enfants.
J’irais demander pardon à ceux que j’ai blessé
Les membres de ma famille, ma maman.
Fais selon ta volonté.
Maintenant, nous prions ensemble, pour nos frères ici et à venir.
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Le premier baptême célébré
Une grande famille
Celui de mon village
A la maison
Avec mon épouse Marie-Dominique
Heureux les artisans de paix
La gratitude
Ceux qui osent témoigner de leur foi
Redonner de l’espérance
L’indifférence
Donner la communion à des personnes souffrantes
Saint Bernard
Une vie bouleversée
L’amour sera au cœur de votre foi, et votre foi au cœur de votre amour
Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés.
Faire les choses du quotidien avec grand cœur
Confiance.
Le tri sélectif
Bienveillance
Abbaye de la Pierre-qui-Vire
Un livre
Un couteau suisse
Alléluia du Messie de Haendel
Aquilas (avec Priscille)
Un bisou à ma douce moitié
Une personne âgée qui me raconte sa vie
Au théâtre
Être coincé dans un embouteillage
Pacifique
Une impatience réprimée
En prenant conscience que je n’ai pas assez aimé
La mauvaise foi
Le regard lumineux de nos petits enfants
Les blagues Chti
Prier les laudes
Père François Guézou, missionnaire en Inde
Si tu savais combien Jésus t’aime.
Les noces de Cana.
Seigneur fait de moi un instrument de ta Paix. St François d’Assise
Une oreille musicale.
Ma famille.
Tenir la main de ceux et celles que j’aime.
Mamina (ma maman)
Me voici !
Viens, je t’ai préparé une place.
]]>8 ans
Dans une paroisse rurale, entouré d’une belle équipe de paroissiens
Le peuple de Dieu.
Notre-Dame de Chantilly (ma ville natale).
Dans mon bureau.
Avec les paroissiens.
Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux. Mt 5, 3
La constance.
Que les églises soient ouvertes.
Tous les chrétiens essayant d’accomplir leur mission.
Plus jamais la guerre. (Paul VI)
Les injustices.
Une assemblée paroissiale sur l’avenir.
Saint François d’Assise.
La Bible.
Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Jn 15, 13
Saint Jean-Paul II (pour ses visites)
La patience et l’humilité.
Amour.
Sauvegarder la maison commune.
Humilité.
Chantilly.
Des livres.
Les Histoires, Hérodote
Vivaldi.
Luc.
écouter les nouvelles à la radio.
Le pape François.
Ce matin.
L’absence de réflexion.
Bienveillance.
Remettre au lendemain.
Rien.
La bêtise.
L’amour des parents pour leur enfant.
Comédie burlesque.
La méditation de l’Écriture.
Pierre Bonnier, curé de Chantilly qui m’a donné la vocation.
Pourquoi n’as-tu pas compris ?
Je la distribue aux plus pauvres.
Le sermon sur la Montagne.
Notre Père.
Dormir 4h par nuit.
La Parole de Dieu.
Je méditerai l’Evangile.
Mes parents.
Merci de ta confiance.
Entre dans la joie de ton maître.
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Les sacrements que notre évêque a administrés à la prison de Beauvais. J’ai toujours été touché de voir la conversion s'opérer chez nos frères et sœurs détenus et de voir à quel point recevoir les sacrements de l’Église les transforment.
C’est une famille où nous sommes tous accueillis sans distinction et qui que nous soyons.
Saint Jean-Marie Vianney (Beauvais, ZUP Argentine)
À l’église St-Jean-Marie-Vianney, où le spirituel (dans l’église) se mêle à la réalité de vie du monde (présence de l'association Rosalie dans le sous-sol).
Avec mes frères et sœurs protestants et orthodoxes, dans le groupe œcuménique de Beauvais
Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux.
L’humilité
Tous ceux qui essaient de voir en l’autre un frère, une sœur.
En ce temps de guerre et de conflit, mettre l’amour dans le cœur des Hommes pour que les conflits et les guerres cessent.
L’égoïsme
La naissance de ma première nièce, Agathe
Le bienheureux Antoine Chevrier
Le Véritable disciple, du Père Chevrier
Connaître Jésus Christ c’est tout, le reste n’est rien. (Antoine Chevrier)
Tu aimeras ton prochain, comme je t’ai aimé.
Être bienveillant
Remplacer mes déplacements en voiture par la marche ou la trottinette, dans la mesure du possible.
Accueillant
Lourdes et Limonest
Le Véritable disciple
Le groupe Glorious
Thomas. Trop souvent comme Thomas, j’attends un signe de Dieu et je me dis que la Parole du Christ : “Ne sois plus incrédule, mais croyant” trouve souvent résonance.
Dire bonjour à mes chiens, si ce n’est pas eux qui viennent me réveiller.
Attentif aux autres
Être trop pressé
La méchanceté
Profiter des choses simples de la vie.
Le père Jean Schryve, qui m’a accompagné depuis mon enfance et m’a appelé et soutenu dans le cheminement du diaconat.
Pourquoi ?
La prière du Père Chevrier « Ô Verbe ! Ô Christ ! » :
« Ô Verbe ! Ô Christ ! Que vous êtes beau ! Que vous êtes grand ! Qui saura vous connaître ? Qui saura vous comprendre ? Faites, ô Christ, que je vous connaisse et que je vous aime puisque vous êtes la lumière, laissez venir un rayon de cette divine lumière sur ma pauvre âme afin que je puisse vous voir et vous comprendre. Mettez en moi une grande foi en vous afin que toutes vos paroles soient pour moi autant de lumières qui m’éclairent et me fassent aller à vous et vous suivre dans toutes les voies de la justice et de la vérité. Ô Christ ! Ô Verbe ! Vous êtes mon Seigneur et mon unique maître ! Parlez, je veux vous écouter et mettre votre parole en pratique. Je veux écouter votre divine parole parce que je sais qu’elle vient du ciel. Je veux l’écouter, la méditer, la mettre en pratique parce que dans votre parole, il y a la paix, la joie et le bonheur. Parlez, Seigneur, vous êtes mon Seigneur et mon maître… Et je ne veux écouter que vous. Amen. »
Mes proches.
Je la passerais en prière avec et auprès de mes proches.
Notre Mère, Marie.
Merci, d’avoir toujours été à mes côté
Viens et suis-moi à la place que je t’ai préparé.
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(ordonné prêtre le 7 juillet 2018 à Nkayi au Congo-Brazzaville)
7 ans
La célébration de ma première messe dans ma ville natale (Sibiti, département de la Lekoumou au Congo-Brazzaville).
La famille de Dieu
Notre Dame de Lourdes de Sibiti (ma ville natale)
À l'Église avec les chrétiens.
« Heureux les pauvres de cœur, car le Royaume des Cieux est à eux » (Mt 5, 3).
« La crainte de Dieu ».
Obsèques exclusivement pour les chrétiens pratiquants.
Ceux qui ont le courage de dénoncer le mal pour le bien de toute l'humanité.
Que la crainte de Dieu habite de nouveau le cœur de l'homme.
Le mariage pour tous et la transsexualité.
La visite et la messe au Mont Saint-Michel.
Saint Jean Apôtre
« Que l'on trouve chez vous les mêmes projets que chez le Christ Jésus »
« Je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin des temps » (Mt 28, 20).
Réaliser des choses ordinaires de façon extraordinaire en toute humilité et patience.
Espérance.
Planter les arbres fruitiers
La douceur
Troussures
Chapelet
"Jésus de Nazareth", Joseph Ratzinger
Le kiburi-kiri (danse tradi-moderne du Congo-Brazzaville)
Jérémie
Le signe de Croix
L'inattention
La bienveillance.
Le manque de patience
Le mensonge
Avoir des bonnes nouvelles des autres.
Abbé Marc MFOUTOU (celui qui m'a envoyé au moyen séminaire).
"Qu'as-tu-fait de ton frère ?"
Chercher à la fructifier pour qu'elle serve à donner du sourire aux orphelins pour toujours.
« Moi non plus, je ne te condamne pas. Va et désormais ne pèche plus »
Le bréviaire.
L'air pur
Le souffle de vie.
Se réconcilier davantage avec Dieu et le prochain.
Tous ceux que Dieu a jugé digne de Lui.
"Merci, Seigneur pour tant de tendresse et d'amour."
« Entre dans la joie de ton Maître »
]]>du Pays de Thelle, marié à Kathleen depuis 45 ans et père de deux enfants
Le baptême de mes petits-enfants.
L’assemblée des chrétiens.
La chapelle de Cap Malheureux (Île Maurice) et le clocher de mon village à Foulangues.
Chez moi.
Avec mon épouse.
« Heureux les artisans de paix. »
La charité.
Ceux qui œuvrent pour un monde plus juste, plus humain et moins violent.
La guérison d’un ami.
Le consumérisme.
L’ordination de cinq nouveaux frères diacres.
Saint Joseph.
Le Petit Prince de Saint-Exupéry et 1984 de Georges Orwell.
« Je suis le chemin, la vérité, et la vie. » Jean 14, 6
« Va, ta foi t’a sauvé. » Marc 10, 52.
Résister aux influences du monde.
« Merci ».
Audacieux.
Rome.
Des fleurs.
Un transistor.
Les polyphonies corses.
Saint Joseph.
Un temps de prière avec mon épouse.
Le pape François.
En regardant un film avec Louis de Funès.
Les pages cornées d’un livre.
La franchise.
L’impatience.
Les discours des politiciens.
Les remarques de mes petits-enfants.
Mon épouse.
Les Pères : Fernand Duchesne, Gaby Levert et Claude Marck.
Va parler à Jésus !
Les pèlerins d’Emmaüs.
Le « Notre Père » et le « Je vous salue Marie ».
La patience.
Mon épouse, mes enfants et mes petits-enfants.
Essayer de rester calme.
Pardonne-moi !
Tu es pardonné.
]]>11 ans
D’avoir donné de l’espoir à des enfants en grande souffrance.
La chapelle Notre-Dame du Fort à Saint-Rémy-en-l’Eau
La force
Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus
« Que votre amour soit sans hypocrisie. Fuyez le mal avec horreur, attachez-vous au bien » (Rm 12,9)
Éteindre la lumière dans les pièces inoccupées.
Des livrets de prières
Le missel.
Bartimée pour sa foi !
Le signe de croix.
À la dernière rencontre de l'Equipe de conduite pastorale (ECP).
Ne pas avoir de réponses à l’organisation d’un événement.
Des frites !
L’humour dès lors qu’il ne blesse pas l’autre.
L’abbé Bruno Daniel lors de mes premières JMJ à Rome en 2000.
" Tu as manqué de foi mon petit…"
Le vent pour répandre la Bonne Nouvelle !
Je dirais la messe.
« Seigneur, tu sais tout, tu sais bien que je t’aime. » (Cf. Jn 21,17)
« Entre dans la joie de ton maître ! » (Cf. Mt 25,23)
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8 ans
Jésus et tous ceux qu’Il aime
Dans tout lieu où il y a la « présence réelle » de Jésus
Avec tous ceux qui louent, écoutent et adorent Dieu qui aime tous les êtres humains
Heureux les doux !
Toutes les personnes démunies qui ne désespèrent pas de l’homme et font encore confiance à Dieu
L’indifférence (et d’abord, trop souvent, la mienne) aux souffrances des petits
Prier à l’Alverne (où St François d’Assise a reçu les stigmates) avec des chefs d’établissements
Finalement Saint François de Sales (évêque passionné par l’amour de Dieu et tellement donné au service de son diocèse et de l’Eglise)
« M’aimes-tu ? » (Jn 21, 15 et s.)
« Avançons »
Eteindre toute lumière inutilement allumée
La Toccata de Charles-Marie Widor
Le psalmiste : il parle à Dieu avec tout- son cœur (triste ou joyeux, adorant ou révolté)
Éteindre le réveil !!! … faire un signe de croix et prier l’Angélus
Gilles Kepel ou Pierre Manent
La peine d’autrui
L’amour d’une maman pour son bébé
St Dominique … et plus proche, le Cardinal Vingt-Trois
Je donne aux chantiers diocésains et à l’Enseignement Catholique !!!
« Pierre, M’aimes-tu ? » (Jn 21, 15-22)
« Jésus, doux et humble de cœur, rends mon cœur semblable au tien »
Ceux que je n’ai pas su aimer … mais que la vision du Seigneur me rendra aimables !
« Entre dans la joie de mon Père »
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8 ans
Jésus et tous ceux qu’Il aime
Dans tout lieu où il y a la « présence réelle » de Jésus
Avec tous ceux qui louent, écoutent et adorent Dieu qui aime tous les êtres humains
Heureux les doux !
Toutes les personnes démunies qui ne désespèrent pas de l’homme et font encore confiance à Dieu
L’indifférence (et d’abord, trop souvent, la mienne) aux souffrances des petits
Prier à l’Alverne (où St François d’Assise a reçu les stigmates) avec des chefs d’établissements
Finalement Saint François de Sales (évêque passionné par l’amour de Dieu et tellement donné au service de son diocèse et de l’Eglise)
« M’aimes-tu ? » (Jn 21, 15 et s.)
« Avançons »
Eteindre toute lumière inutilement allumée
La Toccata de Charles-Marie Widor
Le psalmiste : il parle à Dieu avec tout- son cœur (triste ou joyeux, adorant ou révolté)
Éteindre le réveil !!! … faire un signe de croix et prier l’Angélus
Gilles Kepel ou Pierre Manent
La peine d’autrui
L’amour d’une maman pour son bébé
St Dominique … et plus proche, le Cardinal Vingt-Trois
Je donne aux chantiers diocésains et à l’Enseignement Catholique !!!
« Pierre, M’aimes-tu ? » (Jn 21, 15-22)
« Jésus, doux et humble de cœur, rends mon cœur semblable au tien »
Ceux que je n’ai pas su aimer … mais que la vision du Seigneur me rendra aimables !
« Entre dans la joie de mon Père »
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