Saint Martin — Église catholique dans l'Oise | Diocèse de Beauvais

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Par admin at 10/07/2017 13:35 |
 

Saint Martin

Moine-évêque missionnaire, Apôtre de la Gaule

Saint Martin est le premier saint à être vénéré sans avoir subi le martyre.
 

Ses dernières paroles adressées à Dieu :
"Seigneur, en voilà assez de batailles que j'ai livrées pour toi. Je voudrais mon congé. Mais si tu veux que je serve encore sous ton étendard, j'oublierai mon grand âge."

 

 Sommaire :

1- La jeunesse
2- La vocation
3- Martin, évêque de Tours
4- Le fondateur du monachisme en Occident
5- Le culte de St Martin

> Eglises dédiées à Saint Martin
> Sources et liens

 

En bref

Saint Martin est né vers 316 en Haute-Pannonie, l'actuelle Hongrie ; fils d'un officier romain il s'engage à 15 ans dans la cavalerie impériale romaine. Le partage de son vêtement avec un autre pauvre mendiant ainsi que la vision céleste le menant au baptême sont célèbres. Ayant quitté l'armée il se met sous la direction de saint Hilaire, l'évêque de Poitiers. Après avoir vécu 10 ans en ermite il fonde le premier monastère de la Gaule à Ligugé près de Tours ; nommé évêque de Tours en 372, il fonde un centre monastique à Marmoutier où il passe ses loisirs tout en gouvernant son diocèse avec zèle. Il est l'évêque, qui le premier, évangélise les campagnes, y créant partout des églises. Il meurt le 8 novembre 397.
L'art, traditionnellement, le représente comme soldat souvent à cheval partageant son manteau avec un mendiant ou encore comme évêque donnant des aumônes soit en armure portant les attributs épiscopaux.

Saint Martin est le premier saint à être vénéré sans avoir subi le martyre.
 

Ils ont dit de lui...

« Jamais, écrit Sulpice Sévère, aucune heure ni aucun instant ne se sont écoulés sans qu'il s'adonnât à la prière ou s'appliquât à la lecture ; et pourtant, même au milieu de sa lecture ou de n'importe quel autre action, jamais il ne donnait de relâche à son esprit en prière. Rien d'extraordinaire à cela … Martin priait sans cesse, même quand il avait l'air de faire autre chose. »

" Sans être le seul, Martin est l'évêque qui a le mieux compris que l’Évangile n'avait pas de frontières, qu'il ne devait pas s’enfermer dans l'enceinte des villes, mais qu'il fallait aussi lui ouvrir les populations rurales." Mgr J. Honoré, archevêque de Tours

" Les yeux et les mains sont sans cesse tendus vers le ciel, il ne laissait point son âme invincible se relâcher dans la prière." Sulpice Sévère

"Il persévérait avec une entière constance dans ce qu'il avait d'abord été : une même humilité dans le cœur, une même qualité vile dans le vêtement ; et c'est de la sorte, plein d'autorité et de prestige, qu'il assumait la dignité de l'épiscopat, sans abandonner la profession et les vertus de l'état monastique." Sulpice Sévère

"Ils (les habitants de Tours et des cités environnantes) n'ont qu'une volonté, un seul suffrage, un seul désir ; Martin est le plus digne de l'épiscopat : heureuse sera l'Eglise qui aura un tel évêque." Sulpice Sévère

Au XII° siècle, Adam de Perseigne s'écria " saint Martin n'a été inférieur aux apôtres ni par ses miracles, ni par sa prédication, ni par ses fondations d'églises ni par ses vertus."

La spiritualité martinienne est nettement affirmée dans une lettre adressée à Radegonde : " Quand au commencement de la religion catholique, les premiers germes de la foi vénérable sont commencé à bourgeonner à l'intérieur des Gaules, le Seigneur …. daigna envoyer le bienheureux Martin de race étrangère pour illuminer cette région comme sa miséricorde lui en donnait le conseil."

 Il a dit...

Désirant quitter l'armée, il s'adresse ainsi à son souverain : " Jusqu'à ce jour j'ai été à votre service ; souffrez que désormais je sois au service de Dieu."

" Ils sont durs, Seigneur, les combats qu'il faut livrer dans son corps pour ton service ; et j'ai assez de luttes que j'ai soutenues jusqu'ici. Mais si tu m'ordonnes de peiner encore pour monter la garde devant ton camp, je ne refuse pas, je n'alléguerai pas pour excuse l'épuisement de l'âge. Je me dévouerai à la tâche que tu m'imposeras : sous les étendards, aussi longtemps que tu l'ordonneras toi-même, je servirai. Sans doute un vieillard souhaiterait un congé après une vie de labeur, mais l'âme est capable de vaincre les années et saura ne pas céder à la vieillesse."

Ses dernières paroles adressées à Dieu : "Seigneur, en voilà assez de batailles que j'ai livrées pour toi. Je voudrais mon congé. Mais si tu veux que je serve encore sous ton étendard, j'oublierai mon grand âge."
 

 

1- Sa jeunesse

Martin naît en 316 à Sabaria, dans la province romaine de Pannonie, dans l'Est de l'actuelle Hongrie d'une famille pratiquant la religion païenne romaine.
Son père, qui est un tribun de l'armée romaine, commande une légion de 6000 hommes.
Vers 326, la famille habite Pavie dans le Nord de l'Italie, le père étant devenu vétéran, c'est à dire pensionné.
Nous ne savons rien du jeune Martin entre douze et quinze ans. Sulpice Sévère, son premier biographe relate simplement en quelques lignes son entrée dans l'armée vers 330 : " Les rois ayant édicté que les fils de vétérans devaient être enrôlés pour le service militaire, il fut livré par son père, qui s'opposait à son heureuse conduite ; lorsqu'il eut quinze ans, il fut arrêté, enchaîné et lié par des serments militaires". Il ne nous dit rien de sa première affectation mais s'étend longuement sur les vertus chrétiennes que le jeune Martin pratiquait : patience, modestie, sobriété, dévouement aux malades et aux indigents, ne réservant de sa solde que le nécessaire pour sa nourriture.

Versé dans la cavalerie romaine, il est envoyé en garnison au Nord de la Gaule, à Reims puis à Amiens. C'est à Amiens qu'il accomplit le geste décisif de sa vocation.

 

2- la vocation

  

Au cours de l'hiver 338-339, aux portes d'Amiens, le jeune cavalier rencontre un pauvre en guenilles qui lui demande l'aumône. Martin n'a pas d'argent sur lui ; il tire alors son épée, tranche son manteau par le milieu et donne la moitié au pauvre. La nuit suivante, le Christ lui apparaît, portant la moitié du manteau donné au pauvre, " Martin, le catéchumène, lui dit-il, m'a revêtu de ce vêtement."
Geste qui sera plus tard immortalisé par des milliers de tableaux, statues et même timbre-poste. Les habitants d'Amiens, en souvenir de ce fait, bâtirent dès le V° siècle, un oratoire à la Porte aux Jumeaux, identifiée comme le lieu du miracle ; ils en confièrent la garde à une petite communauté de femmes. En 1073, Guy de Ponthieu, évêque d'Amiens, le remplaça par un bâtiment plus vaste, desservi cette fois par une communauté de clercs. En 1109, celui-ci se transforma en une communauté de chanoines réguliers sous la règle de saint Augustin ; enfin en 1145, le monastère de Saint Martin aux Jumeaux fut érigé en abbaye.

A la suite de sa vision, Martin se fait baptiser durant la nuit de Pâques 335. Deux ans plus tard, il quitte l'armée et commence son apostolat.

Il est possible que de 337 à 347, Martin vécut à Trèves, qu'il y fut ascète sous la direction et dans l'amitié du grand évêque Maximin et qu'il bénéficia de la compagnie d'Anathase d'Alexandrie et de Paul de Constantinople. Trèves était alors la capitale de la préfecture des Gaules et celle de l'Empire romain d'Occident ; le christianisme s'y était solidement implanté mais surtout elle était le berceau de la vie monastique dans les Gaules.

Maximin ayant fait de Martin le compagnon de ses voyages, ce dernier l'accompagne à Poitiers et y reste après la mort de Maximin.

On le retrouve ensuite auprès de saint Hilaire, évêque de Poitiers, dont la renommée est considérable car il est l'un des évangélisateurs de la Gaule. Sous sa conduite il veut se former à la vie religieuse. Il le quitte pourtant quelque temps pour vivre une vie érémitique dans l'île de Gallinaria, dans la mer toscane. En effet les moines de cette époque, pour mieux fuir le monde, affectionnaient ces lieux sauvages qui, s'ils n'étaient pas à l'abri des intempéries, l'étaient du moins des hommes.

 

En 361, il s'installe à Ligugé en Poitou dans les communs d'une villa gallo-romaine, en ruine depuis l'invasion alémanique de 276. Ce lieu lui est offert par saint Hilaire.

Vers 400 il est construit un vaste demi-cercle de 32 m de diamètre près de sa cellule. Martin aime la solitude mais les hommes l'empêchent d'en jouir car il est considéré comme un faiseur de miracles - il aurait ressuscité 2 morts - Sa foi, sa charité le font connaître au loin. Des disciples se joignent à lui. Il fait de son monastère un foyer actif d'évangélisation. Ligugé devient le premier monastère de la Gaule.

Plus tard, en 591 saint Grégoire de Tours, successeur de saint Martin sur le siège épiscopal de Tours y viendra en pèlerinage.

 

3- St Martin, évêque de Tours

A la mort de leur évêque, les habitants de Tours et le clergé local choisissent Martin à cause de ses qualités d'ascète et viennent le chercher dans son monastère.

Comme il refuse de les suivre, ils s'emparent de lui et c'est quasi de force qu'ils l'emmènent à Tours.

Martin finit par accepter et le 4 juillet 371 il est sacré évêque. Le jugement de la hiérarchie épiscopale sera sévère, elle le décrit comme étant "mal vêtu et mal peigné."

Dès les premières années de sa charge d'évêque de Tours pour lui permettre de se retirer de sa ville, il fonde un autre monastère : Marmoutiers, à 3 km de Tours dans un lieu écarté au bord de la Loire.

Il devient le véritable Père Abbé qui dirige son monastère de telle sorte que l'Église de Tours voit naître un clergé formé à Marmoutier. Il vit avec eux, les édifiant par ses miracles, les instruisant par ses exemples et par sa parole. Ces moines seront envoyés fonder les relais dans les campagnes afin de consolider les communautés nouvelles, nées des conversions.

Martin a profondément le culte des saints. Cette ferveur était connue au- delà de son diocèse sans doute, puisque saint Ambroise, le célèbre évêque de Milan, lui envoya une partie importante des ossements de saint Protais et de saint Gervais.

Martin fait abattre un pin, vénéré comme symbole de la fécondité ( basilique de Vézelay)

 

 4- Le fondateur du monachisme en Occident

Incontestablement Martin n'est pas un évêque comme les autres. Il a un constant souci de préserver et de maintenir la foi chrétienne contre toute autre manifestation religieuse.

Il s'oppose à l'arianisme et au priscillianisme, ce qui ne l'empêche pas de protéger les priscilianistes persécutés et de condamner l'appel aux pouvoirs civils pour punir les hérétiques.

Il est l'un des principaux pionniers du monachisme occidental avant saint Benoît qui avait par ailleurs une grande vénération pour saint Martin.

Bien que le christianisme soit implanté en Gaule depuis un siècle, le paganisme est encore très vivace. Se sachant protégé par la Providence divine, il le combat avec vigueur et ses méthodes sont plutôt énergiques : il détruit systématiquement tous les sanctuaires païens, idoles, statues qu'il trouve sur son passage. Son principal mérite reste cependant celui d'avoir amorcer la christianisation des campagnes. Jusqu'alors, les évangélisateurs empruntaient les voies romaines, rectilignes, reliant une cité à l'autre ; il va prendre pour ses tournées apostoliques les chemins gaulois de l'Ouest de la Gaule et y créer un premier réseau de paroisses rurales car la population des Gaules y vit, disséminée sur de grands domaines agricoles ; mais son rayonnement ne touche pas que le milieu paysan, il convertit nombre de grands personnages tel le futur saint Paulin de Nole.

Partout des églises surgissent. Au cours du Moyen Age, saint Martin est resté le symbole de la lutte contre les croyances pré-chrétiennes gallo-romaines plus gauloises d'ailleurs que romaines.

Aujourd'hui près de 4000 églises lui sont dédiées et plus de 400 hameaux et villages portent son nom.

Il est l'initiateur, le fondateur des paroisses rurales qui, bientôt couvriront les régions de Gaule, la France et la Belgique actuelles.

 

5- Le culte de saint Martin

Son épiscopat dure 26 ans. Bien que malade il se rend à Candes près de Tours, pour y apaiser un conflit entre clercs. C'est là qu'il meurt le 8 novembre 397.

A sa mort les foules accourent, et bientôt les moines de Ligugé, ceux de Marmoutiers et les Tourangeaux se disputent sa dépouille. Les gens de Tours ont le dernier mot, durant la nuit ils font passer le corps par une fenêtre et l'emportent jusqu'à une boucle de la Vienne où une barque attend. On raconte alors qu'un miracle s'est produit : sur le passage du corps, et bien que l'on soit en novembre, les arbres verdissent, les plantes fleurissent, les oiseaux chantent ; c'est " l'été de la St Martin."

Le 11 novembre le corps est ramené triomphalement à Tours. Très vite le tombeau de saint Martin devient un lieu de pèlerinage ; sa renommée s'étend à la chrétienté toute entière.

En 470, une basilique est élevée autour de son sarcophage. Détruit par les Normands, elle est reconstruite du XI au XIIIème siècle. Celle-ci saccagée en 1562 par les huguenots est laissée à l'abandon pendant la Révolution et ses voûtes s'écroulent. La nef est rasée en 1802 pour faire place à une grande artère. Une nouvelle basilique est cependant reconstruite de 1887 à 1924. Dans la crypte, le tombeau de saint Martin se trouve à l'emplacement exact qu'il occupait dans la vieille église.

Les rois mérovingiens mais on ne sait si c'est à partir de Clovis, de Childebert ou de Clotaire, avaient pris l'habitude d'emprunter la tunique de saint Martin pour la brandir devant leurs troupes quand ils partaient à la guerre, afin d'attirer sur elles la protection du saint patron national. Si non, ils la plaçaient dans un oratoire du palais royal.

De même, saint Eloi possédait deux dents de saint Martin que lui avaient données sans doute l'évêque de Tours. Il déposa l'une des dents à Notre Dame de Noyon, dans sa cité épiscopale et emporta l'autre à Tournai ; sur cette petite dent il fit édifier un grand monastère sous le patronage de saint Martin et il mit à la tête de sa communauté, Baldered, moine de Saint-Martin de Tours.

Au cours des siècles qui suivirent, de nombreux personnages illustres se rendirent sur son tombeau. On peut en citer quelques uns : sainte Radegonde qui devint son disciple ; saint Germain de Paris ; Brunehaut ; Pépin le bref ; Charlemagne ; Hugues Capet ; Richard cœur de lion ; Philippe Auguste ; Jeanne d'Arc ; Louis XI ; François Ier ainsi que des papes.

A l'étranger, de grandes fondations monastiques propagèrent le culte de saint Martin, comme par exemple : Saint-Martin de Canterbéry qui dut son existence à une arrière-petite-fille de Clovis. 

 


 > Eglises dédiées à Saint Martin

117 églises du diocèse sont dédiées à saint Martin :

  • A: Abbecourt, Amblainville, Angivillers, Antheuil-Portes, Appilly, Apremont, Autheuil-en-Valois
  • B : Bailleval, Béhericourt, Belle-Eglise, Berlancourt, Béthisy-Saint-Martin, Blacourt, Blargies, Blicourt, Bonneuil-en-Valois, Bonnières, Bonvillers, Borest, Breuil-le-Sec, Breuil-le-Vert, Bulles
  • C : Cambronne-lès-Ribécourt, Candor, Canly, Catigny, Cauvigny, Chelles, Cinqueux, Cires-lès-Mello, Coivrel, Cormeilles, Cramoisy, Cressonsacq, Cuignières, Cuise-la-Motte
  • D : Dargies, Dives
  • E : Enencourt-Léage, Eragny-sur-Epte, Ermenonville, Escames, Espaubourg, Essuiles, Etouy
  • F : Feigneux, Fresnoy-le-Luat
  • G : Gilocourt, Gondreville
  • H : Hadancourt-le-Haut-Clocher, Haudivillers, Hécourt, Heilles, Hémévillers, Herchies, Héricourt-sur-Thérain
  • I : Ivry-le-Temple
  • J : Jaméricourt, Jaulzy
  • L : Lamécourt, Laversines (p), Liancourt, Lierville, Longueil-Annel, Longueil-Sainte-Marie
  • M : Maimbeville, Marais (Aux) (Paroisse de Saint Martin-le-Nœud), Mareuil-sur-Ourcq, Margny-aux-Cerises, Marseille-en-Beauvaisis, Martincourt, Mélicocq, Meux (Le), Monchy-Humières, Monneville, Montigny (commune de Maignelay-Montigny), Montjavoult, Moyenneville, Moyvillers
  • N : Néry, Neuville-Bosc, Noël-Saint-Martin (commune de Villeneuve-sur-Verberie), Noyers-Saint-Martin
  • O : Ognon, Omécourt, Ormoy-Villers, Oroër, Orvillers-Sorel, Oudeuil
  • P : Passel, Plailly, Plessis-Patte-d'Oie (Le)
  • R : Réez-Fosse-Martin, Reuil-sur-Brêche, Rochy-Condé, Rousseloy, Roye-sur-Matz
  • S : Saint-Martin-aux-Bois, Saint-Martin-le-Nœud, Saint-Martin-Longueau, Senantes, Sérévillers, Silly-Tillard, Songeons
  • T : Tartigny, Thiers-sur-Thève, Thury-en-Valoi
  • V : Vendeuil-Caply, Venette, Verderel, Versigny, Vez, Villers-Saint-Barthélemy, Villers-Saint-Sépulcre, Villers-Vermont, Vrocourt
  • W : Wambez
     
 

 > Sources et liens

  • Dix mille saints dictionnaire hagiographique
  • Guides de tourisme
  • Grégoire de Tours De Virtutibus sancti Martini
  • Ivan Gobry saint Martin
  • Chronique "en bref" du 20/04/1996 par J. Honoré archevêque de Tours
  • Nouvelle encyclopédique catholique : Théo
  • Sulpice Sévère Vie de saint Martin

 

site internet : www.abbaye-liguge.com