Exposition Kim en Joong
du 15 juin au 16 septembre 2018
L’artiste dominicain franco-coréen, Kim en Joong exposera plus d’une centaine d’œuvres (peintures, céramiques, vitrail) à l’Abbaye Royale du Moncel (Pont-ste-Maxence)
sur le thème « Hommage à la Paix ».
Exposition visible du mercredi au vendredi et le dimanche : de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00. Le samedi en visite guidée à 14h30 et 16h30.
L’artiste coréen, Kim en Joong, est un prêtre dominicain qui a connu l’occupation japonaise, la guerre. Du 15 juin au 16 septembre, à l’Abbaye Royale du Moncel (Pontpoint), l’artiste expose un vitrail, des céramiques et des œuvres peintes.
Contact : Julien Serey
« L’exposition est dépouillée par sa présentation mais riche en couleurs et en clarté. L’ambiance presque monacale sous l’impressionnante voute de l’Abbaye renforce l’aspect apaisant, lumineux et pacifique de l’œuvre de Kim en Joong, qui porte bien son nom et exprime un véritable hommage à la paix. »
Hassan Sadi, Oise Hebdo du 27 juin 2018
La Vie aime : beaucoup
Dominicain et peintre d'origine coréenne, Kim En Joong est reconnu dans le monde entier pour ses vitraux abstraits et colorés. Maître de la lumière, il revient ici pour présenter une série de tableaux au coeur de l'abbaye royale du Moncel. C'est dans l'ancien dortoir des clarisses, sous une voûte majestueuse à charpente apparente du XIVe siècle, que sont ordonnées ses oeuvres dans une scénographie très épurée.
Parmi la vingtaine de toiles exposées, on retrouve la patte caractéristique de l'artiste : une peinture abstraite aux mouvements presque liquides où les couleurs vives rendent hommage à la fois à la gloire du divin à la paix et à l'harmonie.
L'exposition, dépourvue de tout panneau explicatif ou de titre d'oeuvres, se transforme en balade méditative et contemplative.
L'occasion de découvrir au passage cette superbe abbaye du XIVe siècle, et son monumental cellier, en sous-sol, carrelé de larges dalles noires et blanches. Une merveille. Jusqu'au 16 septembre, à l'Abbaye royale du Moncel, Pontpoint (60).
Catherine Saliceti
Article publié le 11/07/18 dans La Vie