... nous sommes venus nous prosterner devant lui.
Mt 2, 2-12 Épiphanie
Récit fabuleux, récit ésotérique, récit historique ? Ce qui est sûr c’est que cet « évènement » de l’incarnation de Dieu est le sommet de notre univers physique et que ces mages par leur science ont perçu quelque chose. Cette science par la suite a pu leur permettre d’écouter la parole de Dieu dans les écritures. Elle s’est laissée dépasser par le miracle de leur étoile qui n’a plus un mouvement normal mais va au dessus du logis où était ce « roi ».
Enfin, cette science s’est tue et a laissé la place à la foi véritable qui voit la royauté dans un petit enfant et sa mère et les amène à rencontrer Dieu dans l’adoration.
Que notre savoir nous permette de toujours nous émerveiller, de pouvoir mieux nous pencher sur les « écritures », de pouvoir voir les signes que le Christ nous fait et surtout de toucher sa proximité dans son abaissement pour être avec nous.
Enfin, réapprenons, à l’école des mages, à faire et à vivre ces gestes d’adoration avant de communier ou pendant la prière eucharistique ou pendant une adoration eucharistique.