Méditation de l'évangile du dimanche 15 avril 2018 (Luc 24,35-48) — Église catholique dans l'Oise | Diocèse de Beauvais

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Vis en communautés fraternelles et fais de nouveaux disciples du Christ !

Menu
Soutenir l'Église
Contact - Annuaire
Contact

Recherchez une personne dans l'annuaire du diocèse

Contactez-nous en remplissant le formulaire ci-dessous

Nom
Veuillez saisir votre nom complet
Courriel (Requis)
Veuillez saisir votre adresse courriel
Sujet : (Requis)
 
Message (Requis)
Veuillez saisir le message que vous souhaitez envoyer.
Veuillez recopier le texte de l'image ci-dessous (Requis)
Enter the word

Consulter notre politique de traitement des données personnelles

Par admin at 10/07/2017 13:35 |
 

Méditation de l'évangile du dimanche 15 avril 2018 (Luc 24,35-48)

Méditation fournie par des frères de la communauté de Saint-Jean, à Troussures.

Ce que dit le Seigneur : c’est la paix (Psaume 84)

Avez-vous déjà remarqué dans les évangiles de la résurrection le nombre de fois où Jésus commence  la rencontre par une question ?

« Femme, qui cherches-tu ? » « De quoi causiez-vous donc en chemin ? » « Pourquoi êtes-vous troublés ? » « N’est-ce pas là ce que devait souffrir le Christ pour entrer dans sa gloire ? » « Avez-vous ici quelque chose à manger ? » « Les enfants, avez-vous quelque chose à manger ? »

Jésus, tout ressuscité qu’Il est, vient les rejoindre là où ils en sont. Il est attiré par la bonne volonté de ceux qui le cherchent, même si souvent leur réaction première est tellement émotionnelle qu’elle fait un écran. Jésus les  emmènera plus profondément en venant réveiller leur intelligence des écritures. Le fruit en est une paix et une joie profonde. Non plus une paix ou une joie venant d’eux-mêmes,  de surface, mais celle que Lui seul peut et désire nous donner, celle des profondeurs. Cette paix nous est désormais donnée, parce que Lui désire qu’Il en soit ainsi.

Accueillons Sa paix, que nous en soyons digne ou non n’est pas la question que Jésus pose. Et s’il nous demande pourquoi nous sommes troublés, c’est pour nous rejoindre d’abord là où nous en sommes et nous conduire alors vers le bon pâturage.

Jésus, j’ai confiance en toi !

Frère Michel